Les paroles de la chanson
« Tes bras »
Georgette Plana
Tes bras
Sont une bien douce chaîne
Et je sens dès qu’ils me prennent
Mon cœur qui bat
Tes bras
Je te jure qu’ils me donnent
Une ivresse que personne
Ne me donna
Tendre et docile
J’y resterai toujours
C’est le suprême asile
De mon amour
C’est là
Que les heures sont trop brèves
La vie passe comme un rêve
Entre tes bras
Si j’aime ta voix qui me câline
Ta voix qui me grise en me parlant
Si j’aime tes yeux qui me fascinent
Tes grands yeux pervers et troublants
J’aime surtout l’étreinte amoureuse
De tes bras où tremble mon désir
Mon âme fiévreuse
Est vraiment heureuse
Lorsque je viens m’y blottir
[Reprise des couplets 1 et 2]
Par les jolis mots que tu sais dire
Tu fais de moi tout ce que tu veux
J’ai beau me défendre, tu m’attires
Me troubler, pour toi, n’est qu’un jeu
Quand, pour me reprendre, je t’évite
Tu me tends les bras en m’implorant
Alors, vite, vite
Je m’y précipite
Et c’est toi qui me reprends
Sont une bien douce chaîne
Et je sens dès qu’ils me prennent
Mon cœur qui bat
Tes bras
Je te jure qu’ils me donnent
Une ivresse que personne
Ne me donna
Tendre et docile
J’y resterai toujours
C’est le suprême asile
De mon amour
C’est là
Que les heures sont trop brèves
La vie passe comme un rêve
Entre tes bras
Si j’aime ta voix qui me câline
Ta voix qui me grise en me parlant
Si j’aime tes yeux qui me fascinent
Tes grands yeux pervers et troublants
J’aime surtout l’étreinte amoureuse
De tes bras où tremble mon désir
Mon âme fiévreuse
Est vraiment heureuse
Lorsque je viens m’y blottir
[Reprise des couplets 1 et 2]
Par les jolis mots que tu sais dire
Tu fais de moi tout ce que tu veux
J’ai beau me défendre, tu m’attires
Me troubler, pour toi, n’est qu’un jeu
Quand, pour me reprendre, je t’évite
Tu me tends les bras en m’implorant
Alors, vite, vite
Je m’y précipite
Et c’est toi qui me reprends