Les paroles de la chanson
« Terre promise »
Francesca Solleville
Quand j’étais petite fille
Je voulais être une lady
J’admirais tout ce qui brille
Bref, ce qui avait du prix
Sur les quais de la Tamise
À côté de l’île aux Chiens
J’ rêvais de la Terre promise
Ainsi voulait mon destin
{Refrain:}
Ah! Les méfaits de l’eau qui chante
On n’ distingue plus le mal du bien
Les grands voiliers, ça vous tourmente
Quand on est gosse, on voit trop loin
On croit toujours à la bonne chance
Le beurre vaut bien mieux que le pain
Et l’on entre dans la danse
Où les vauriens s’ tiennent par la main
Nez au vent vers l’aventure
Un matin j’ai barboté
La montre en or pour conclure
Celle d’une dame de qualité
Elle a braillé sa surprise
Comme un phoque sur un renard
Hélas, la souris fut prise
Je n’ai pu manger le lard
{au Refrain}
Un juge en robe et perruque
Attendri par mon minois
De la corde sauva ma nuque
Grâce aux colonies du roi
Avec cent célibataires
L’ reste ayant été pendu
J’ai vu la pénitentiaire
Récompenser ma vertu
D’puis vingt ans dans cette truanderie
J’ rêve à mon paradis perdu
J’ai épousé Jim-la-Pépie
Un drôle comme on n’en fait plus
C’est lui qui m’enseigne la musique
Qui fait danser sans tambourins
Lorsque plus soûl qu’une bourrique
Il réclame son picotin
Je voulais être une lady
J’admirais tout ce qui brille
Bref, ce qui avait du prix
Sur les quais de la Tamise
À côté de l’île aux Chiens
J’ rêvais de la Terre promise
Ainsi voulait mon destin
{Refrain:}
Ah! Les méfaits de l’eau qui chante
On n’ distingue plus le mal du bien
Les grands voiliers, ça vous tourmente
Quand on est gosse, on voit trop loin
On croit toujours à la bonne chance
Le beurre vaut bien mieux que le pain
Et l’on entre dans la danse
Où les vauriens s’ tiennent par la main
Nez au vent vers l’aventure
Un matin j’ai barboté
La montre en or pour conclure
Celle d’une dame de qualité
Elle a braillé sa surprise
Comme un phoque sur un renard
Hélas, la souris fut prise
Je n’ai pu manger le lard
{au Refrain}
Un juge en robe et perruque
Attendri par mon minois
De la corde sauva ma nuque
Grâce aux colonies du roi
Avec cent célibataires
L’ reste ayant été pendu
J’ai vu la pénitentiaire
Récompenser ma vertu
D’puis vingt ans dans cette truanderie
J’ rêve à mon paradis perdu
J’ai épousé Jim-la-Pépie
Un drôle comme on n’en fait plus
C’est lui qui m’enseigne la musique
Qui fait danser sans tambourins
Lorsque plus soûl qu’une bourrique
Il réclame son picotin