Les paroles de la chanson
« Terre ! »
Charles Trenet
Depuis des mois, Christophe Colomb
Voguait sur la mer immense,
Interrogeant les horizons,
Les vents des quatre saisons.
Les matelots, pauvres garçons
Disaient : "Nous n’avons pas d’chance."
Quand un beau jour, en haut du pont,
On entend Colomb dire :
Terre! Terre! Oui, c’est toi.
Terre! Terre! Je te vois.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Terre! Terre! Oui c’est toi.
Terre! Terre! Qui donn’ la joie.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Descendons au plus tôt.
Le pays est beau.
La plaine est joyeuse.
Bâtissons des maisons.
Pêchons des poissons.
Chantons des chansons!
Ah Terre! Terre! Oui, c’est toi
Terre! Terre! Qui donn’ la joie.
Terre’. Terre! Viens à moi.
Oui! Terre, je suis à toi.
Tout comm’ Colomb sur son bateau,
Nous voguions à la dérive.
L’eau était sal’ (ah quell’ sale eau!)
Ah, quel méli-mélo
Et puis, un jour, tout devint beau.
Tout devint clair sur la rive
Et l’on riait et l’on pleurait
Et le monde chantait : "Ohé :
Terre! Terre! Oui, c’est toi.
Terre! Terre! Je te vois.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Terre! Terre! Oui c’est toi.
Terre! Terre! Qui donn’ la joie.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Quel jardin merveilleux
Brille sous nos veux.
Ah, les bell’s tomates!
Le ciel est parfumé.
Quand on aura s’mé,
On pourra s’aimer.
Ah, Terre! Terre! Dis’nt les bois.
Terre! Terre! Vive la joie.
Viv’ la Terre ont dit les blondes.
Viv’ la Terre a dit le monde.
Viv’ la Terre ont dit les brunes.
Viv’ la Terre a dit la lune.
Voguait sur la mer immense,
Interrogeant les horizons,
Les vents des quatre saisons.
Les matelots, pauvres garçons
Disaient : "Nous n’avons pas d’chance."
Quand un beau jour, en haut du pont,
On entend Colomb dire :
Terre! Terre! Oui, c’est toi.
Terre! Terre! Je te vois.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Terre! Terre! Oui c’est toi.
Terre! Terre! Qui donn’ la joie.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Descendons au plus tôt.
Le pays est beau.
La plaine est joyeuse.
Bâtissons des maisons.
Pêchons des poissons.
Chantons des chansons!
Ah Terre! Terre! Oui, c’est toi
Terre! Terre! Qui donn’ la joie.
Terre’. Terre! Viens à moi.
Oui! Terre, je suis à toi.
Tout comm’ Colomb sur son bateau,
Nous voguions à la dérive.
L’eau était sal’ (ah quell’ sale eau!)
Ah, quel méli-mélo
Et puis, un jour, tout devint beau.
Tout devint clair sur la rive
Et l’on riait et l’on pleurait
Et le monde chantait : "Ohé :
Terre! Terre! Oui, c’est toi.
Terre! Terre! Je te vois.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Terre! Terre! Oui c’est toi.
Terre! Terre! Qui donn’ la joie.
Terre! Terre! Viens à moi.
Oui, terre, je suis à toi.
Quel jardin merveilleux
Brille sous nos veux.
Ah, les bell’s tomates!
Le ciel est parfumé.
Quand on aura s’mé,
On pourra s’aimer.
Ah, Terre! Terre! Dis’nt les bois.
Terre! Terre! Vive la joie.
Viv’ la Terre ont dit les blondes.
Viv’ la Terre a dit le monde.
Viv’ la Terre ont dit les brunes.
Viv’ la Terre a dit la lune.