Les paroles de la chanson
« Téquila »
Luce Dufault
T’écris ta poésie, sur du papier buvard
T’as des mots d’érudit, mais t’es pas très bavard
Quand l’encre te trahit, tu la noies dans le vin
Tu te bats dans la nuit, contre le lendemain
Ton foulard fusain et mon écharpe charbon
Se sont enguirlandés, de l’Irlande au Japon
Tes mains de mâle et mes longs doigts de demoiselle
Se sont laissés aller et on avait des ailes
{Refrain:}
Quand je pense à toi, j’ai le ventre vénéneux
Dans les seins j’ai du feu, dans les reins j’ai des nœuds
Quand tu n’es pas dans mon lit, moi je ne couche pas là
Je m’endors en te cherchant dans la tequila
Tu te sers de tes poings, quand la vie te bouscule
Parfois j’ai l’impression, d’être qu’une virgule
Tu m’aimes en suspension entre deux œuvres d’art
Quand je ne fais plus un son, tu branches ton radar
{au Refrain}
Tu es un ange de joie, un superbe salaud
Quand j’ai envie de toi, je repars à zéro
J’oublie les graffitis, tracés sur ma jeunesse
Comme si tu ne m’avais pas fait tant de promesses
{au Refrain, x2}
T’as des mots d’érudit, mais t’es pas très bavard
Quand l’encre te trahit, tu la noies dans le vin
Tu te bats dans la nuit, contre le lendemain
Ton foulard fusain et mon écharpe charbon
Se sont enguirlandés, de l’Irlande au Japon
Tes mains de mâle et mes longs doigts de demoiselle
Se sont laissés aller et on avait des ailes
{Refrain:}
Quand je pense à toi, j’ai le ventre vénéneux
Dans les seins j’ai du feu, dans les reins j’ai des nœuds
Quand tu n’es pas dans mon lit, moi je ne couche pas là
Je m’endors en te cherchant dans la tequila
Tu te sers de tes poings, quand la vie te bouscule
Parfois j’ai l’impression, d’être qu’une virgule
Tu m’aimes en suspension entre deux œuvres d’art
Quand je ne fais plus un son, tu branches ton radar
{au Refrain}
Tu es un ange de joie, un superbe salaud
Quand j’ai envie de toi, je repars à zéro
J’oublie les graffitis, tracés sur ma jeunesse
Comme si tu ne m’avais pas fait tant de promesses
{au Refrain, x2}