Les paroles de la chanson
« Temps mort »
Booba
Une putain d’époque mon pote, ici y faut des putains d’dorseaux
Un putain d’morceau et tous les blocs ont leurs glocks sous les doudounes
Boulogne mon putain d’dôme shouf
Un putain d’homme singe, un putain d’gun et un chauve, un putain d’oinj
Enlève ta putain d’lingerie venu pour tout baiser et les keuchs
C’est pas un euj, moi je suis pas inscrit à leur putain d’électorat
Mon putain d’quartier une balle dans le thorax
C’est c’que t’auras sans ma putain d’weed
J’aurai pas le style que t’entends, tricher pour être riche avant 30 piges
Tonton écoute mon herbe, mes nerfs et mon son, putain d’merde
9.2 moi j’kick, relâche ma haine chienne
Putain d’crew cous’ douze putains d’rounds
100-8 Zoo you know mon putain d’92
Alors j’demande un temps mort parce qu’on s’fait niquer au score
Un flow d’porc j’suis là pour ouvrir d’autres portes
{Refrain:}
Rien n’a changé à part l’change, j’demande un temps mort
C’est malheureux je reviens c’est dangereux; écoute, écoute ça
Ecoute un peu ma banlieue
Temps mort, temps mort
Encore nous, c’est dangereux
Un putain d’morceau et tous les blocs ont leurs glocks sous les doudounes
Boulogne mon putain d’dôme shouf
Un putain d’homme singe, un putain d’gun et un chauve, un putain d’oinj
Enlève ta putain d’lingerie venu pour tout baiser et les keuchs
C’est pas un euj, moi je suis pas inscrit à leur putain d’électorat
Mon putain d’quartier une balle dans le thorax
C’est c’que t’auras sans ma putain d’weed
J’aurai pas le style que t’entends, tricher pour être riche avant 30 piges
Tonton écoute mon herbe, mes nerfs et mon son, putain d’merde
9.2 moi j’kick, relâche ma haine chienne
Putain d’crew cous’ douze putains d’rounds
100-8 Zoo you know mon putain d’92
Alors j’demande un temps mort parce qu’on s’fait niquer au score
Un flow d’porc j’suis là pour ouvrir d’autres portes
{Refrain:}
Rien n’a changé à part l’change, j’demande un temps mort
C’est malheureux je reviens c’est dangereux; écoute, écoute ça
Ecoute un peu ma banlieue
Temps mort, temps mort
Encore nous, c’est dangereux