Les paroles de la chanson
« Temps »
Amylie
Assise bien confortablement
Chaque seconde se pavane
Se reproduit éternellement
Dans les soupirs
Des cœurs en pannes
Inutile reste que la déprime
Maladroite en tenant mon estime
Toujours lasse d’être lasse
Quand la paresse prend toute la place
Et l’on dit que le temps arrange les choses
Mais quand la chose est qu’on a trop de temps
Va-t-on savoir ce qui arrange
Nos pauvres vies de carence
Chaque jour est une mauvaise nouvelle
Qui s’éternise dans l’attente
Sans volonté ni but réel
Juste l’ennui de plus en plus pesant
Même sur la pointe des pieds
Cette vie n’arrive à la cheville d’aucune autre
Le fond est un doux confort
Comparé à ce que remonter demande comme effort
Et l’on dit que le temps arrange les choses
Mais quand la chose est qu’on a trop de temps
Va-t-on savoir ce qui arrange
Nos pauvres vies en carence
Et l’on dit que le temps arrange les choses
Mais quand rien n’est à arranger
C’est toujours pour ceux qui n’en veulent pas
Que le temps veut rester
Chaque seconde se pavane
Se reproduit éternellement
Dans les soupirs
Des cœurs en pannes
Inutile reste que la déprime
Maladroite en tenant mon estime
Toujours lasse d’être lasse
Quand la paresse prend toute la place
Et l’on dit que le temps arrange les choses
Mais quand la chose est qu’on a trop de temps
Va-t-on savoir ce qui arrange
Nos pauvres vies de carence
Chaque jour est une mauvaise nouvelle
Qui s’éternise dans l’attente
Sans volonté ni but réel
Juste l’ennui de plus en plus pesant
Même sur la pointe des pieds
Cette vie n’arrive à la cheville d’aucune autre
Le fond est un doux confort
Comparé à ce que remonter demande comme effort
Et l’on dit que le temps arrange les choses
Mais quand la chose est qu’on a trop de temps
Va-t-on savoir ce qui arrange
Nos pauvres vies en carence
Et l’on dit que le temps arrange les choses
Mais quand rien n’est à arranger
C’est toujours pour ceux qui n’en veulent pas
Que le temps veut rester