Les paroles de la chanson
« Tellement on s'aimait »
Beau Dommage
Ils se retrouvent autour d’une table
Au fond à gauche tout près du bar
La même table où il y a dix ans
Ils venaient s’asseoir tous les soirs
Pour boire aux yeux d’une nouvelle blonde
Ou pleurer celle qui était partie
Ou arranger le sort et rêver tout haut dans la nuit
Ils se demandent où ils en sont
Se font des blagues et se taquinent
Sur les bébés ou le bedons
Ou les cheveux qui se déracinent
Ils sont un peu inconfortables
En s’informant des vieux amis
Ceux qui ont roulé sous la table
Et n’en sont jamais ressortis
Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l’envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Quand la musique devient plus forte
Alors on se crie dans l’oreille
Qu’on devrait se voir plus souvent
Que dans le fonds, tout est pareil
Et on retourne quelques instants
Observer le fonds de son verre
Ou regarder quelqu’un qui danse
Et nous ressemble sous les lumières
Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l’envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Quand la musique se fait plus douce
On laisse couler les confidences
Et peu à peu on lève les voiles
Sur les longues années de silence
Sur les amours et les batailles
Sur la carrière et les caresses
On se raconte nos trente ans
Entre le rire et la tendresse
Si certains rêves se sont enfuis
En emportant dans leurs valises
Des mots d’amour jetés derrière
Avec nos plus belles chemises
D’autres se sont glissés sans bruit
Et nous ont laissé par surprise
Un œil ouvert sur la vraie vie
Et sur le monde autour de nous
Ils se retrouvent autour d’une table
Au fond à gauche tout près du bar
La même table où il y a dix ans
Ils venaient s’asseoir tous les soirs
Dans quelques verres ils seront partis
Chacun vers son petit bonheur
Avec dans un recoin du cœur
Une flamme qui brille dans la nuit
Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l’envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Non, le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Tellement on s’aimait
Tellement on s’aimait
Tellement on s’aimait
Au fond à gauche tout près du bar
La même table où il y a dix ans
Ils venaient s’asseoir tous les soirs
Pour boire aux yeux d’une nouvelle blonde
Ou pleurer celle qui était partie
Ou arranger le sort et rêver tout haut dans la nuit
Ils se demandent où ils en sont
Se font des blagues et se taquinent
Sur les bébés ou le bedons
Ou les cheveux qui se déracinent
Ils sont un peu inconfortables
En s’informant des vieux amis
Ceux qui ont roulé sous la table
Et n’en sont jamais ressortis
Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l’envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Quand la musique devient plus forte
Alors on se crie dans l’oreille
Qu’on devrait se voir plus souvent
Que dans le fonds, tout est pareil
Et on retourne quelques instants
Observer le fonds de son verre
Ou regarder quelqu’un qui danse
Et nous ressemble sous les lumières
Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l’envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Quand la musique se fait plus douce
On laisse couler les confidences
Et peu à peu on lève les voiles
Sur les longues années de silence
Sur les amours et les batailles
Sur la carrière et les caresses
On se raconte nos trente ans
Entre le rire et la tendresse
Si certains rêves se sont enfuis
En emportant dans leurs valises
Des mots d’amour jetés derrière
Avec nos plus belles chemises
D’autres se sont glissés sans bruit
Et nous ont laissé par surprise
Un œil ouvert sur la vraie vie
Et sur le monde autour de nous
Ils se retrouvent autour d’une table
Au fond à gauche tout près du bar
La même table où il y a dix ans
Ils venaient s’asseoir tous les soirs
Dans quelques verres ils seront partis
Chacun vers son petit bonheur
Avec dans un recoin du cœur
Une flamme qui brille dans la nuit
Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l’envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Non, le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s’aimait
Tellement on s’aimait
Tellement on s’aimait
Tellement on s’aimait