Les paroles de la chanson
« Tellement bu, tellement fumé »
Joe Dassin
Je n’me souviens même pas de la couleur de ses yeux,
Je crois bien qu’ils était verts, j’parie qu’ils étaient bleus.
Je me rappelle seulement que je les aimais,
Tellement bu, tellement fumé.
Dans ma mémoire brouillard, je ne retrouve plus son prénom.
Dans mes idées fumées j’fais à peine son brouillon.
Je n’sais plus c’qu’elle disait, sauf que j’y ai cru,
Tellement fumé, tellement bu.
L’oubli ça tient à quoi?
Des glaçons dans un verre.
Un halo de tabac,
Dansant dans la lumière.
Ça tient à rien du tout, l’oubli,
C’est comme la vie.
Je revois vaguement un studio mal meublé.
Mais qui pourrait me dire la couleur du papier?
Y avait sûrement un lit, puisqu’on s’est aimé,
Tellement bu, tellement fumé.
L’oubli ça tient à qui?
Une inconnue qui passe.
Qui s’égare une nuit,
Au fond de mon impasse.
L’oubli ça tient à rien du tout,
Mais pas à nous.
Une fugue en Normandie, pour arroser le beau temps.
Un retour à Paris, je n’sais plus trop comment.
Sauf la vague impression que c’était foutu.
Tellement fumé, tellement bu.
Qu’est-ce que je suis con d’avoir déchiré sa photo.
J’aimerais bien la revoir, j’ai plus son numéro.
De toute façon je n’sais plus téléphoner.
Tellement bu, tellement fumé.
Je crois bien qu’ils était verts, j’parie qu’ils étaient bleus.
Je me rappelle seulement que je les aimais,
Tellement bu, tellement fumé.
Dans ma mémoire brouillard, je ne retrouve plus son prénom.
Dans mes idées fumées j’fais à peine son brouillon.
Je n’sais plus c’qu’elle disait, sauf que j’y ai cru,
Tellement fumé, tellement bu.
L’oubli ça tient à quoi?
Des glaçons dans un verre.
Un halo de tabac,
Dansant dans la lumière.
Ça tient à rien du tout, l’oubli,
C’est comme la vie.
Je revois vaguement un studio mal meublé.
Mais qui pourrait me dire la couleur du papier?
Y avait sûrement un lit, puisqu’on s’est aimé,
Tellement bu, tellement fumé.
L’oubli ça tient à qui?
Une inconnue qui passe.
Qui s’égare une nuit,
Au fond de mon impasse.
L’oubli ça tient à rien du tout,
Mais pas à nous.
Une fugue en Normandie, pour arroser le beau temps.
Un retour à Paris, je n’sais plus trop comment.
Sauf la vague impression que c’était foutu.
Tellement fumé, tellement bu.
Qu’est-ce que je suis con d’avoir déchiré sa photo.
J’aimerais bien la revoir, j’ai plus son numéro.
De toute façon je n’sais plus téléphoner.
Tellement bu, tellement fumé.