Les paroles de la chanson
« Tel père tel vice »
Corneille
Une vie naïve de 10 ans
Mère dépressive, un père absent
Style dictateur au regard tranchant :
"Qu’est-ce que tu as fils? Dis que t’as peur!"
Il dicte la peur dans tout le foyer,
Et devient d’autant plus bestial,
Quand vient le temps de payer les bills, le loyer
’Voyez ce n’est pas que le père n’aime pas son fils
Il l’aime beaucoup!
Son vice : souvent trop saoul, s’en fiche
Et envoie trop de coups...
Tu le mets à l’épreuve, réponse : pleins de jurons,
Te défonce à coups de ceinturon et te jongle un "gêole"
Mick Jagger... Et la mère,
Visage maussage teinté de contusions,
Les yeux remplis de confusions,
Fait de son mieux mais dans son jeu : se trahit
Combien de fois a-t-elle brûlé le maïs?
Debout devant le four, regarde sa bague et crie : " Je t’haïs! "
En pensant à son union : " Quelle connerie! "
Dès qu’on entend la sonnerie, plus personne ne rit
La mère place le couvert et l’enfant court dans son lit
Couché sous les draps il constipe à l’idée que ce con de type
Viendra jouer avec lui, la main dans son slip...
After all you’ve done wrong, you want me to forgive you!
You say; you love me...
How can you forget the past?
I don’t believe you!
When you say; you’re sorry!
Maintenant treize ans, souvenirs blessants
La même chienne de vie!
C’pendant l’enfant est conscient de la scène et prie
Le Seigneur de lui laisser le droit de s’en sortir!
Imagine le sang sortir de ses veines et il se dit :
"C’est pas la peine! "
Et la haine de lui s’empare et sèche vite ses larmes...
Il...vite son arme : "Mais qu’en est-ce que ça va finir?!"
Et puis il encaisse, grince la porte,
Le père rentre saoul dans sa chambre
Il fait semblant de dormir, mais le père s’en fout :
"Lève-toi qu’on joue ensembles!"
Les mains de l’homme courent sur son corps,
Il aimerait tant le foutre à terre, le battre
Mais son esprit, ses bras sont morts...
Le souffle chaud de l’ivrogne jusque dans le cou
Et le père descend la main de l’enfant sur son sexe
Et l’histoire suit son cours...
Le fils e sent sale, pénétré jusqu’au mental
Et quand le rongent les menaces, il se dit :
"C’est trop!" Et demande de l’aide à sa mère!
"Cesse tes mensonges idiot! Tu veux créer le scandale?!"
Au fond, la mère sait, mais l’ignore...
Pour ne pas réveiller le chat qui dort (même plus)
After all you’ve done wrong, you want me to forgive you!
You say you love me?
How can you forget the past?
I don’t believe you!
When you say you’re sorry!
Les années passent, le passé se tasse sans cicatrice
Dehors, un homme presse sa blessure sous un temps qui l’attriste
Un temps pluvieux, la pluie remplace les larmes quand t’en n’as plus vieux!
Même vingt ans plus vieux, son père lui dit encore:
’’Qu’est-ce qu’il y a fils?’’
_Rien, tout va bien!’’
Le regard stoïque, observe son père,
Sa mère avec sans amertume,
Fume tel une Mohican sa cigarette pendant qu’ils allumaient un calumet
Il voulut les frapper puis se dit: ’’Arrête!’’; geste héroïque
Et le père dit: ’’Fils, je suis désolé!’’ la tête qui baisse
"Salaud! On dit que les paroles s’envolent mais les cris restent!
Et aujourd’hui je n’ai même plus de voix! Et toi tu crois que t’es mon père?
_Pour moi t’es rien!
_Si je suis quelqu’un, tout ce que t’as fait : je ferai le contraire!"
Le fils s’en va, la vague à l’âme, pensant à hier
Se blâme, rentre chez lui embrasse sa femme puis entâme une prière
Il monte au deuxième border sa fille
La regarde, lui dit:’’Je t’aime!’’
Puis à l’oreille lui chuchote:
’’Déshabille...Enlève ta culotte!’’
After all you’ve done wrong, you want me to forgive you!
You say you love me?
How can you forget the past?
I don’t believe you!
When you say you’re sorry!
Mère dépressive, un père absent
Style dictateur au regard tranchant :
"Qu’est-ce que tu as fils? Dis que t’as peur!"
Il dicte la peur dans tout le foyer,
Et devient d’autant plus bestial,
Quand vient le temps de payer les bills, le loyer
’Voyez ce n’est pas que le père n’aime pas son fils
Il l’aime beaucoup!
Son vice : souvent trop saoul, s’en fiche
Et envoie trop de coups...
Tu le mets à l’épreuve, réponse : pleins de jurons,
Te défonce à coups de ceinturon et te jongle un "gêole"
Mick Jagger... Et la mère,
Visage maussage teinté de contusions,
Les yeux remplis de confusions,
Fait de son mieux mais dans son jeu : se trahit
Combien de fois a-t-elle brûlé le maïs?
Debout devant le four, regarde sa bague et crie : " Je t’haïs! "
En pensant à son union : " Quelle connerie! "
Dès qu’on entend la sonnerie, plus personne ne rit
La mère place le couvert et l’enfant court dans son lit
Couché sous les draps il constipe à l’idée que ce con de type
Viendra jouer avec lui, la main dans son slip...
After all you’ve done wrong, you want me to forgive you!
You say; you love me...
How can you forget the past?
I don’t believe you!
When you say; you’re sorry!
Maintenant treize ans, souvenirs blessants
La même chienne de vie!
C’pendant l’enfant est conscient de la scène et prie
Le Seigneur de lui laisser le droit de s’en sortir!
Imagine le sang sortir de ses veines et il se dit :
"C’est pas la peine! "
Et la haine de lui s’empare et sèche vite ses larmes...
Il...vite son arme : "Mais qu’en est-ce que ça va finir?!"
Et puis il encaisse, grince la porte,
Le père rentre saoul dans sa chambre
Il fait semblant de dormir, mais le père s’en fout :
"Lève-toi qu’on joue ensembles!"
Les mains de l’homme courent sur son corps,
Il aimerait tant le foutre à terre, le battre
Mais son esprit, ses bras sont morts...
Le souffle chaud de l’ivrogne jusque dans le cou
Et le père descend la main de l’enfant sur son sexe
Et l’histoire suit son cours...
Le fils e sent sale, pénétré jusqu’au mental
Et quand le rongent les menaces, il se dit :
"C’est trop!" Et demande de l’aide à sa mère!
"Cesse tes mensonges idiot! Tu veux créer le scandale?!"
Au fond, la mère sait, mais l’ignore...
Pour ne pas réveiller le chat qui dort (même plus)
After all you’ve done wrong, you want me to forgive you!
You say you love me?
How can you forget the past?
I don’t believe you!
When you say you’re sorry!
Les années passent, le passé se tasse sans cicatrice
Dehors, un homme presse sa blessure sous un temps qui l’attriste
Un temps pluvieux, la pluie remplace les larmes quand t’en n’as plus vieux!
Même vingt ans plus vieux, son père lui dit encore:
’’Qu’est-ce qu’il y a fils?’’
_Rien, tout va bien!’’
Le regard stoïque, observe son père,
Sa mère avec sans amertume,
Fume tel une Mohican sa cigarette pendant qu’ils allumaient un calumet
Il voulut les frapper puis se dit: ’’Arrête!’’; geste héroïque
Et le père dit: ’’Fils, je suis désolé!’’ la tête qui baisse
"Salaud! On dit que les paroles s’envolent mais les cris restent!
Et aujourd’hui je n’ai même plus de voix! Et toi tu crois que t’es mon père?
_Pour moi t’es rien!
_Si je suis quelqu’un, tout ce que t’as fait : je ferai le contraire!"
Le fils s’en va, la vague à l’âme, pensant à hier
Se blâme, rentre chez lui embrasse sa femme puis entâme une prière
Il monte au deuxième border sa fille
La regarde, lui dit:’’Je t’aime!’’
Puis à l’oreille lui chuchote:
’’Déshabille...Enlève ta culotte!’’
After all you’ve done wrong, you want me to forgive you!
You say you love me?
How can you forget the past?
I don’t believe you!
When you say you’re sorry!