Les paroles de la chanson
« Te manquer »
Vincent Delbushaye
Je voudrais te manquer, mon amour
Occuper tes pensées de jour en jour
Je voudrais parfois qu’il m’arrive quelque chose
Que tu sentes le poids que mon absence impose
Je voudrais t’effrayer sans rien dire
Te faire douter, te faire réfléchir
Et alors commence notre petit jeu cruel
Du plus long silence et du premier qui rappelle
Mais c’est moi qui attends
C’est moi qui tourne en rond
Qui regrette l’avant
Qui trouve le temps long
Une fois encore
Et en attendant mieux
Je tue le temps mort
Comme je peux
Je voudrais te voir souffrir mon amour
Que tu connaisses le pire à ton tour
Les nuits blanches, les jours noirs
Et les poisons volontaires
Et tous les « trop tard » qui flottent dans l’air
Je voudrais que le temps passe
Comme sur un cœur de glace
Que ces choses m’indiffèrent et que je sois debout
Foutre ton jeu en l’air et ta fierté à genoux
Mais c’est moi qui attends
C’est moi qui prends les torts
Manifestement, c’est pas moi le plus fort
Et c’est moi qui perds
Petit à petit
Le goût de la guerre
Et puis qui m’ennuie
Comment on peut en arriver là
Tellement d’amour et puis tellement pas
On se sent malade de n’être plus aimé
On se persuade qu’il est temps de rentrer
Il faut que tu m’appelles, c’est ton tour
J’ai plus de tes nouvelles depuis presque un jour
Je voudrais surtout pas qu’il t’arrive quelque chose
Je supporterais pas le poids que ton absence impose
Et c’est moi qui reviens
C’est moi qui abandonne
Et qui tends la main
Vers le téléphone
Occuper tes pensées de jour en jour
Je voudrais parfois qu’il m’arrive quelque chose
Que tu sentes le poids que mon absence impose
Je voudrais t’effrayer sans rien dire
Te faire douter, te faire réfléchir
Et alors commence notre petit jeu cruel
Du plus long silence et du premier qui rappelle
Mais c’est moi qui attends
C’est moi qui tourne en rond
Qui regrette l’avant
Qui trouve le temps long
Une fois encore
Et en attendant mieux
Je tue le temps mort
Comme je peux
Je voudrais te voir souffrir mon amour
Que tu connaisses le pire à ton tour
Les nuits blanches, les jours noirs
Et les poisons volontaires
Et tous les « trop tard » qui flottent dans l’air
Je voudrais que le temps passe
Comme sur un cœur de glace
Que ces choses m’indiffèrent et que je sois debout
Foutre ton jeu en l’air et ta fierté à genoux
Mais c’est moi qui attends
C’est moi qui prends les torts
Manifestement, c’est pas moi le plus fort
Et c’est moi qui perds
Petit à petit
Le goût de la guerre
Et puis qui m’ennuie
Comment on peut en arriver là
Tellement d’amour et puis tellement pas
On se sent malade de n’être plus aimé
On se persuade qu’il est temps de rentrer
Il faut que tu m’appelles, c’est ton tour
J’ai plus de tes nouvelles depuis presque un jour
Je voudrais surtout pas qu’il t’arrive quelque chose
Je supporterais pas le poids que ton absence impose
Et c’est moi qui reviens
C’est moi qui abandonne
Et qui tends la main
Vers le téléphone