Les paroles de la chanson
« Tango de l'éléphant »
Line Renaud
Un tout, tout petit éléphant
Trompant son papa, sa maman
S’en allait, sans trop s’en faire
Prendre un bain dans la rivière
Et marcher tout en se dandinant
Content de sentir le printemps
Bravant la forêt du Soudan
Il allait sous les fougères
Faire l’école buissonnière
C’est si bon d’être libre un moment
Et sous les arbres géants
Remplis de singes criant
Dressant sa trompe
Il chantait tout en avançant
Les perroquets ricanant
Se répétaient bruyamment
"Quel imprudent, ce petit éléphant!"
Le tout, tout petit éléphant
Vraiment se donnait du bon temps
Et cueillant des fruits sauvages
Il disait dans son langage
"Puisque je suis seul, profitons-en!"
Lorsque soudain, la brousse entière
En un instant parut se taire
Seul un grand cri vers la rivière
Résonna longuement
Le tout, tout petit éléphant
Tremblant comme une feuille au vent
Vit briller dans les feuillages
Deux yeux, à l’éclat sauvage
Qui le regardaient bien fixement
Lançant un appel déchirant
Devant le danger imminent
Face au grand tigre en colère
Il s’apprêta solitaire
A mourir tout en se défendant
A son appel répondant
D’un peu partout brusquement
Pour le défendre accoururent tous les éléphants
En les voyant menaçants
Le tigre toujours prudent
Dans les fougères disparut subitement
Le tout, tout petit éléphant
Penaud, embrassa sa maman
On l’ ramena dans la clairière
Et pour le punir, son père
Sur son p’tit derrière lui fit pan pan!
Cette histoire nous prouve en somme
Que tant qu’on n’est pas un homme
Il faut obéir... à ses parents
Trompant son papa, sa maman
S’en allait, sans trop s’en faire
Prendre un bain dans la rivière
Et marcher tout en se dandinant
Content de sentir le printemps
Bravant la forêt du Soudan
Il allait sous les fougères
Faire l’école buissonnière
C’est si bon d’être libre un moment
Et sous les arbres géants
Remplis de singes criant
Dressant sa trompe
Il chantait tout en avançant
Les perroquets ricanant
Se répétaient bruyamment
"Quel imprudent, ce petit éléphant!"
Le tout, tout petit éléphant
Vraiment se donnait du bon temps
Et cueillant des fruits sauvages
Il disait dans son langage
"Puisque je suis seul, profitons-en!"
Lorsque soudain, la brousse entière
En un instant parut se taire
Seul un grand cri vers la rivière
Résonna longuement
Le tout, tout petit éléphant
Tremblant comme une feuille au vent
Vit briller dans les feuillages
Deux yeux, à l’éclat sauvage
Qui le regardaient bien fixement
Lançant un appel déchirant
Devant le danger imminent
Face au grand tigre en colère
Il s’apprêta solitaire
A mourir tout en se défendant
A son appel répondant
D’un peu partout brusquement
Pour le défendre accoururent tous les éléphants
En les voyant menaçants
Le tigre toujours prudent
Dans les fougères disparut subitement
Le tout, tout petit éléphant
Penaud, embrassa sa maman
On l’ ramena dans la clairière
Et pour le punir, son père
Sur son p’tit derrière lui fit pan pan!
Cette histoire nous prouve en somme
Que tant qu’on n’est pas un homme
Il faut obéir... à ses parents