Les paroles de la chanson
« Ta mère »
Vincent Delbushaye
Ce léger courant d’air
Qui caresse le dos
Le soleil sur ta peau
Et ta mère…
Ce resto douze étoiles
Juste au bord de la mer
Mon envie de te plaire
Et ta mère…
Cette nuit sans nuages
Le long de cette plage
Mes deux bras qui te serrent
Et ta mère…
Un requin ferait l’affaire
Ou un arrêt cardiaque
Moi je sais plus quoi faire
Pour qu’elle claque
Ta mère…
Un coup de révolver
Une mygale dans son sac
Trafiquer son scooter
Bidouiller son cognac
A ta mère…
Caresser nos peaux nues
De regards entendus
On éteint la lumière
Et ta mère!
Une envie passionnelle
De te coucher par terre
Besoin de septième ciel
Et ta mère!!
La montée du désir
Le cœur qui s’accélère
Dans les cris de plaisir
Mais ta mère!!!
Une pilule dans son verre
La noyer dans une flaque
La jeter à la mer
Coulée dans du tarmac
Ta mère…
La clouer sur une plaque
Sous un paratonnerre
La déposer en vrac
A côté du cimetière
Ta mère…
Tout ce ménage à faire
La vaisselle d’hier
De la tension dans l’air…
Et ta mère!
Une dispute violente
La montée des enchères
Des assiettes volantes
Et ta mère!?
Dans nos moments de guerre
Sont-ils bien nécessaires
Tous les p’tits commentaires
De ta mère?
J’pourrais faire un effort
C’est quand même pas la mort
Elle a pas toujours tort
Promis j’vais me calmer
C’est pas l’moment de craquer
Je vais m’habituer…
La sortir en hiver
En cachant l’anorak
Lui pourrir l’atmosphère
Et planquer ses Prozac
A ta mère
La suspendre à l’envers
Roulée dans son hamac
L’envoyer en Ulster
L’oublier à la Fnac
Ta mère
Lui démettre une lombaire
Avec un coup d’matraque
La déguiser en cerf
Lâcher les chiens d’attaque
La pousser par derrière
Dans la cage aux macaques
L’offrir à Tony Blair
De la part de Chirac
Ta mère
La rayer de l’univers
A grands coups de racagnac
La plonger dans l’éther
Et la vendre à la Fac
L’envoyer en charter
S’éclater en Irak
La miser au poker
Et la perdre au black jack
Ta mère…
Flinguer l’intimité
Elle en fait son affaire
Chaque jour de l’année
Ta mère
C’est vrai que j’exagère
J’arrête mon numéro
Désolé si mes mots
Sont amers…
Qui caresse le dos
Le soleil sur ta peau
Et ta mère…
Ce resto douze étoiles
Juste au bord de la mer
Mon envie de te plaire
Et ta mère…
Cette nuit sans nuages
Le long de cette plage
Mes deux bras qui te serrent
Et ta mère…
Un requin ferait l’affaire
Ou un arrêt cardiaque
Moi je sais plus quoi faire
Pour qu’elle claque
Ta mère…
Un coup de révolver
Une mygale dans son sac
Trafiquer son scooter
Bidouiller son cognac
A ta mère…
Caresser nos peaux nues
De regards entendus
On éteint la lumière
Et ta mère!
Une envie passionnelle
De te coucher par terre
Besoin de septième ciel
Et ta mère!!
La montée du désir
Le cœur qui s’accélère
Dans les cris de plaisir
Mais ta mère!!!
Une pilule dans son verre
La noyer dans une flaque
La jeter à la mer
Coulée dans du tarmac
Ta mère…
La clouer sur une plaque
Sous un paratonnerre
La déposer en vrac
A côté du cimetière
Ta mère…
Tout ce ménage à faire
La vaisselle d’hier
De la tension dans l’air…
Et ta mère!
Une dispute violente
La montée des enchères
Des assiettes volantes
Et ta mère!?
Dans nos moments de guerre
Sont-ils bien nécessaires
Tous les p’tits commentaires
De ta mère?
J’pourrais faire un effort
C’est quand même pas la mort
Elle a pas toujours tort
Promis j’vais me calmer
C’est pas l’moment de craquer
Je vais m’habituer…
La sortir en hiver
En cachant l’anorak
Lui pourrir l’atmosphère
Et planquer ses Prozac
A ta mère
La suspendre à l’envers
Roulée dans son hamac
L’envoyer en Ulster
L’oublier à la Fnac
Ta mère
Lui démettre une lombaire
Avec un coup d’matraque
La déguiser en cerf
Lâcher les chiens d’attaque
La pousser par derrière
Dans la cage aux macaques
L’offrir à Tony Blair
De la part de Chirac
Ta mère
La rayer de l’univers
A grands coups de racagnac
La plonger dans l’éther
Et la vendre à la Fac
L’envoyer en charter
S’éclater en Irak
La miser au poker
Et la perdre au black jack
Ta mère…
Flinguer l’intimité
Elle en fait son affaire
Chaque jour de l’année
Ta mère
C’est vrai que j’exagère
J’arrête mon numéro
Désolé si mes mots
Sont amers…