Les paroles de la chanson
« Survivre en ennemi »
Soldat Louis
REFRAIN
Survivre en enn’mis de tout c’qui nous condamne
Rebell’s et insoumis loin du monde qui nous damne
Survivre en enn’mis pour la mer et les femmes
Seuls maîtres de nos vies seuls maîtres de nos âmes
Pas sûr d’avoir l’temps d’êtr’ vieux
Quand tu l’passes à mourir
Que tu t’cass’s la gueul’ d’ton pieu
Dès qu’ l’océan délire
Tu n’peux plus penser à rien
Tu r’grett’s seul ment d’êtr’ là
Et t’es comme un con dans ton coin A t’retourner les doigts
Ou à prier n’importe qui n’importe quoi
REFRAIN
A terre dans les bars du port
Les dockers font Stallone
Au bras d’fer c’est toujours l’plus fort
Qui s’envoie la patronne
Pour les autres y’ a les filles qui montent
En jouant les Madones
Qui aiment tout en faisant leur compte Mais à qui on pardonne
Car y’a des nuits où Dieu qu’la honte est bonne
REFRAIN
l’ f’ra sans doute encore nuit noire
Quand on rentrera l’corps
La tête farcie d’parfums bizarres
Et de bière à ras bords
On y aura laissé not’ paye
Not’ santé voire nos peurs On aura carmé pour l’soleil
Qui n’brille qu’à certaines heures
Qui fait qu’on appareille la haine au coeur.
REFRAIN
Survivre en enn’mis de tout c’qui nous condamne
Rebell’s et insoumis loin du monde qui nous damne
Survivre en enn’mis pour la mer et les femmes
Seuls maîtres de nos vies seuls maîtres de nos âmes
Pas sûr d’avoir l’temps d’êtr’ vieux
Quand tu l’passes à mourir
Que tu t’cass’s la gueul’ d’ton pieu
Dès qu’ l’océan délire
Tu n’peux plus penser à rien
Tu r’grett’s seul ment d’êtr’ là
Et t’es comme un con dans ton coin A t’retourner les doigts
Ou à prier n’importe qui n’importe quoi
REFRAIN
A terre dans les bars du port
Les dockers font Stallone
Au bras d’fer c’est toujours l’plus fort
Qui s’envoie la patronne
Pour les autres y’ a les filles qui montent
En jouant les Madones
Qui aiment tout en faisant leur compte Mais à qui on pardonne
Car y’a des nuits où Dieu qu’la honte est bonne
REFRAIN
l’ f’ra sans doute encore nuit noire
Quand on rentrera l’corps
La tête farcie d’parfums bizarres
Et de bière à ras bords
On y aura laissé not’ paye
Not’ santé voire nos peurs On aura carmé pour l’soleil
Qui n’brille qu’à certaines heures
Qui fait qu’on appareille la haine au coeur.
REFRAIN