Les paroles de la chanson
« Sur la plus haute colline »
Gilbert Bécaud
Sur la plus haute colline,
Sur la plus haute colline,
Il y avait un olivier,
Il y avait un olivier,
Qui avait l’air de chanter,
Qui avait l’air de chanter.
Sur cette même colline,
Sur cette même colline,
Il y avait un oiseau blanc,
Il y avait un oiseau blanc,
Qui chantait soleil levant,
Qui chantait soleil levant.
Entre cet oiseau et l’arbre,
Entre cet oiseau et l’arbre,
Une immense croix de fer,
Une immense croix de fer,
Pour tous ceux qui ont souffert,
Pour tous ceux qui ont souffert.
L’olivier de la colline,
L’olivier de la colline,
Mourut un matin d’hiver,
Mourut un matin d’hiver,
L’oiseau partit vers la mer,
L’oiseau partit vers la mer.
Mais je sais qu’un jour de Pâques,
Mais je sais qu’un jour de Pâques,
L’olivier reverdira,
L’olivier reverdira,
Et que l’oiseau reviendra,
Et que l’oiseau reviendra.
Sur la plus haute colline,
Il y avait un olivier,
Il y avait un olivier,
Qui avait l’air de chanter,
Qui avait l’air de chanter.
Sur cette même colline,
Sur cette même colline,
Il y avait un oiseau blanc,
Il y avait un oiseau blanc,
Qui chantait soleil levant,
Qui chantait soleil levant.
Entre cet oiseau et l’arbre,
Entre cet oiseau et l’arbre,
Une immense croix de fer,
Une immense croix de fer,
Pour tous ceux qui ont souffert,
Pour tous ceux qui ont souffert.
L’olivier de la colline,
L’olivier de la colline,
Mourut un matin d’hiver,
Mourut un matin d’hiver,
L’oiseau partit vers la mer,
L’oiseau partit vers la mer.
Mais je sais qu’un jour de Pâques,
Mais je sais qu’un jour de Pâques,
L’olivier reverdira,
L’olivier reverdira,
Et que l’oiseau reviendra,
Et que l’oiseau reviendra.