Les paroles de la chanson
« Suicide »
Denis Ken
J’ai rêvé de ce soir à la beauté inquiète
J’ai rêvé d’une plage de sable évaporé
à ce moment précis, quand la brise projette
vers le ciel qui s’éteint, des poignées d’étoilées.
Délivré de l’espoir, j’avançais au rivage
Les parfums du large débarquaient en cascade
J’aspirais, j’aspirais, buvant à plein visage
M’enivrant, m’enivrant, comme on boit, par bravade
Les vagues s’élançaient, frémissantes et frivoles
J’ai dansé avec elles de folles farandoles
J’ai glissé, glissé sous leurs jupons émeraudes
Quelle fatigue, soudain, d’avoir si bien dansé
Oui! Boire, s’étourdir et puis ne plus penser
Je me suis glissé dans un linceul émeraude.
J’ai rêvé d’une plage de sable évaporé
à ce moment précis, quand la brise projette
vers le ciel qui s’éteint, des poignées d’étoilées.
Délivré de l’espoir, j’avançais au rivage
Les parfums du large débarquaient en cascade
J’aspirais, j’aspirais, buvant à plein visage
M’enivrant, m’enivrant, comme on boit, par bravade
Les vagues s’élançaient, frémissantes et frivoles
J’ai dansé avec elles de folles farandoles
J’ai glissé, glissé sous leurs jupons émeraudes
Quelle fatigue, soudain, d’avoir si bien dansé
Oui! Boire, s’étourdir et puis ne plus penser
Je me suis glissé dans un linceul émeraude.