Les paroles de la chanson
« Strass et paillettes »
Booba
BOOBA:
Eh! Les mecs, arrêtez les cachetons,
au quartier ça sent le Tranxen 500, anti-shmits fonskar au shit ça sent
le SL 500,
wesh Booba?!
J’entends en passant, si tu veux tirer, tire mais fais-le vite, compte
pas régler tes comptes en m’clashant.
Majors, heindeck, j’vais faire monter les tarots, quand j’ai la clé
j’m’en sers pour casser l’carreau, merde!
Y’a nos empreintes sur la hachette, laisse-nous passer pendant qu’les
MCs s’font bouffer la chatte
Check! Toujours à la mode, j’mets toujours à l’amende à chaque set
Cinq doigts sur un HF, hérissés mes lyrics sortent de ma bouche, de mon
iris, ma vie, un putain d’cul d’sac
Eh! Fils, écoute ça ouais nous on shoote ça, pas pu signer parc’qu’on
est suspect, nous on suce pas,
trop d’soupapes, sous l’capot, trop d’sous papa, nous défier t’es fou,
t’as bu, t’es saoul bâtard.
J’me barre et j’ai pas yèp, nique le strass et les paillettes,
inonde les ondes au fusil à pompe de Boulogne à Lafayette j’gronde,
tu veux du taf, pétasse, t’as qu’à être blonde, tu veux mon cash négro,
ça va être long.
Un bloc de shit, un bloc-notes sur moi, j’prends l’périph, circulaire
comme le canon d’un glock
fuck le milieu mondain s’moque de mon putain d’train d’vie,
d’puis des années j’suis ivre, en train d’vivre et en train d’canner.
Si tu veux pas t’faire baiser, alors viens pas chez nous, le slip entre
la chatte et l’genou,
parce que le monde est ainsi, Infâme,
j’suis l’étincelle anti-insignes,
chaîne en or qui pend sur l’marcel, chicos en or basse caisse claire,
du shit encore connard c’est Lunatic,
high j’suis àl, l’art de la cellule, j’pratique quelques techniques de
Sellasié
défouraille est la tac-tic, beaucoup d’estime pour le bling-bling,
Centimes, Strings, Crime, Putes en vitrine.
Fous le rap en pleine déprime
La rue t’es en plein d’dans, serrez les dents, les rangs pendant
qu’j’m’exprime.
ALI:
On ne meurt qu’une fois, d’ici là laisse moi placer pour ceux que
j’aime sans me lasser,
ma famille, mes gênes et mes gens massifs
Que reste la blanche mafia à Gênes, ici les Hauts d’ Seine, mes nègres
et crouilles au contrôle, actifs.
Indépendant l’kiffe, attends-toi à nous voir tout faire briller, des
disques aux pendentifs.
On a pas oublié, l’or que le pape porte au cou est celui qui nous a été
pillé.
Quel est le problème?
Tu veux savoir est ce qu’A.L.I. ment, autant demander est-ce qu’y a du
porc dans mes aliments.
Ne rappe ni pour la gloire, ni par passion, j’n’attends d’ta part ni
compliments, ni ovations
Quand bien même tu kiffes, fais-le avec modération
ALLAH à Toi seul l’homme doit toute son adoration,
les vrais savent, sérieux quand j’cause ma narration depuis les blocs
du Pt d’Sèvres et d’Issy.
Pose
Mon blaze sur mon époque Lunatic mon groupe imbrisable,
92 i ma troupe un blizard glace le biz jusqu’à c’qu’il casse.
Eh! Les mecs, arrêtez les cachetons,
au quartier ça sent le Tranxen 500, anti-shmits fonskar au shit ça sent
le SL 500,
wesh Booba?!
J’entends en passant, si tu veux tirer, tire mais fais-le vite, compte
pas régler tes comptes en m’clashant.
Majors, heindeck, j’vais faire monter les tarots, quand j’ai la clé
j’m’en sers pour casser l’carreau, merde!
Y’a nos empreintes sur la hachette, laisse-nous passer pendant qu’les
MCs s’font bouffer la chatte
Check! Toujours à la mode, j’mets toujours à l’amende à chaque set
Cinq doigts sur un HF, hérissés mes lyrics sortent de ma bouche, de mon
iris, ma vie, un putain d’cul d’sac
Eh! Fils, écoute ça ouais nous on shoote ça, pas pu signer parc’qu’on
est suspect, nous on suce pas,
trop d’soupapes, sous l’capot, trop d’sous papa, nous défier t’es fou,
t’as bu, t’es saoul bâtard.
J’me barre et j’ai pas yèp, nique le strass et les paillettes,
inonde les ondes au fusil à pompe de Boulogne à Lafayette j’gronde,
tu veux du taf, pétasse, t’as qu’à être blonde, tu veux mon cash négro,
ça va être long.
Un bloc de shit, un bloc-notes sur moi, j’prends l’périph, circulaire
comme le canon d’un glock
fuck le milieu mondain s’moque de mon putain d’train d’vie,
d’puis des années j’suis ivre, en train d’vivre et en train d’canner.
Si tu veux pas t’faire baiser, alors viens pas chez nous, le slip entre
la chatte et l’genou,
parce que le monde est ainsi, Infâme,
j’suis l’étincelle anti-insignes,
chaîne en or qui pend sur l’marcel, chicos en or basse caisse claire,
du shit encore connard c’est Lunatic,
high j’suis àl, l’art de la cellule, j’pratique quelques techniques de
Sellasié
défouraille est la tac-tic, beaucoup d’estime pour le bling-bling,
Centimes, Strings, Crime, Putes en vitrine.
Fous le rap en pleine déprime
La rue t’es en plein d’dans, serrez les dents, les rangs pendant
qu’j’m’exprime.
ALI:
On ne meurt qu’une fois, d’ici là laisse moi placer pour ceux que
j’aime sans me lasser,
ma famille, mes gênes et mes gens massifs
Que reste la blanche mafia à Gênes, ici les Hauts d’ Seine, mes nègres
et crouilles au contrôle, actifs.
Indépendant l’kiffe, attends-toi à nous voir tout faire briller, des
disques aux pendentifs.
On a pas oublié, l’or que le pape porte au cou est celui qui nous a été
pillé.
Quel est le problème?
Tu veux savoir est ce qu’A.L.I. ment, autant demander est-ce qu’y a du
porc dans mes aliments.
Ne rappe ni pour la gloire, ni par passion, j’n’attends d’ta part ni
compliments, ni ovations
Quand bien même tu kiffes, fais-le avec modération
ALLAH à Toi seul l’homme doit toute son adoration,
les vrais savent, sérieux quand j’cause ma narration depuis les blocs
du Pt d’Sèvres et d’Issy.
Pose
Mon blaze sur mon époque Lunatic mon groupe imbrisable,
92 i ma troupe un blizard glace le biz jusqu’à c’qu’il casse.