Les paroles de la chanson
« Souvenirs »
Oxmo Puccino
[Tu t’rapelles, hein?]
Quand on vit quoique ce soit de bien à deux imaginez que tout s’arrête
Une ptite panique peut r’mettre les idées en en place mais quand tout est beau c’est sujet tabou
Cette nuit j’revois les endrois où on s’est connus
Les p’tites disputes pour la taille de tes jupes
Les repas partagés chuuut-
-j’écoute les zics sur lesquelles on s’est couché ensemble
Une pensée triste et il me semble
Qu’on ne s’est pas aimé comme il faut
Où en même temps j’te répétais sans cesse« tu m’fais pleurer »
tu mdisait « attends »donc en attendant notre cordon ombilical fut rompu
C’est sûrement du à tes fautes,
Mes erreurs commises, puis admises.
C’est malheureux. Une bise tout de même? Après tout on s’est aimé,
Et ça c’est suffisant.
On joue les malins, on s’plaint de la lassitude,
Puis un jour la solitude rejoint l’habitude.
[Refrain] :
Ne regrettez pas [pas]
D’avoir étés amis, de s’être aimés un peu
D’avoir connu l’unité, même si c’est fini
C’qui tient de nous c’est tous ces souvenirs.
Y’a que les souvenirs qui tiennent debout.
(Bis)
Tu t émoignais de notre amitiée chaque nuit devant les portes des night-club,
les secrets partagés. Au fil des années
les visages ont changés, sans songer au pire jusqu’à ce jour injuste
où l’un d’nous a failli ah oui
après c’est sur qu’il fallait pas,
à force de n’en faire qu’à sa tête on s’en rend compte trop tard
et à admettre quoi : la fiertée est un mal de l’être aussi mal des lettres mal assemblées comme on communiquait, voit comme on eu niqué!
Le lait est une source d’ennuis public, c’qui s’est entre nous
C’est que nous n’étions pas si proche que ça
Qu’est-ce ’c’est qu’ça : Tendre la main aux amis sans fermer les doigts,
Y perdre le bras
[Refrain]
Il est mort
T’es pas d’accord, et bien profites,
Et si mes mots te touchent tu te discrédites
Tu te remémores, encore
Et ça te remet mort,
Sans ressusciter. Dans mes propos pas d’métaphore.
Qui n’est pas bouleversé d’observer des adversaires
Qui autrefois chantaient en cœur joyeux anniversaire
Vaut mieux penser aux batailles qu’on a gagnées ou perdues unis
Chaque amitié est unique.
Je verse de la liqueur en mémoires de nos souvenirs,
C’est l’ivresse des souvenirs qui tient debout.
[Refrain]
Quand on vit quoique ce soit de bien à deux imaginez que tout s’arrête
Une ptite panique peut r’mettre les idées en en place mais quand tout est beau c’est sujet tabou
Cette nuit j’revois les endrois où on s’est connus
Les p’tites disputes pour la taille de tes jupes
Les repas partagés chuuut-
-j’écoute les zics sur lesquelles on s’est couché ensemble
Une pensée triste et il me semble
Qu’on ne s’est pas aimé comme il faut
Où en même temps j’te répétais sans cesse« tu m’fais pleurer »
tu mdisait « attends »donc en attendant notre cordon ombilical fut rompu
C’est sûrement du à tes fautes,
Mes erreurs commises, puis admises.
C’est malheureux. Une bise tout de même? Après tout on s’est aimé,
Et ça c’est suffisant.
On joue les malins, on s’plaint de la lassitude,
Puis un jour la solitude rejoint l’habitude.
[Refrain] :
Ne regrettez pas [pas]
D’avoir étés amis, de s’être aimés un peu
D’avoir connu l’unité, même si c’est fini
C’qui tient de nous c’est tous ces souvenirs.
Y’a que les souvenirs qui tiennent debout.
(Bis)
Tu t émoignais de notre amitiée chaque nuit devant les portes des night-club,
les secrets partagés. Au fil des années
les visages ont changés, sans songer au pire jusqu’à ce jour injuste
où l’un d’nous a failli ah oui
après c’est sur qu’il fallait pas,
à force de n’en faire qu’à sa tête on s’en rend compte trop tard
et à admettre quoi : la fiertée est un mal de l’être aussi mal des lettres mal assemblées comme on communiquait, voit comme on eu niqué!
Le lait est une source d’ennuis public, c’qui s’est entre nous
C’est que nous n’étions pas si proche que ça
Qu’est-ce ’c’est qu’ça : Tendre la main aux amis sans fermer les doigts,
Y perdre le bras
[Refrain]
Il est mort
T’es pas d’accord, et bien profites,
Et si mes mots te touchent tu te discrédites
Tu te remémores, encore
Et ça te remet mort,
Sans ressusciter. Dans mes propos pas d’métaphore.
Qui n’est pas bouleversé d’observer des adversaires
Qui autrefois chantaient en cœur joyeux anniversaire
Vaut mieux penser aux batailles qu’on a gagnées ou perdues unis
Chaque amitié est unique.
Je verse de la liqueur en mémoires de nos souvenirs,
C’est l’ivresse des souvenirs qui tient debout.
[Refrain]