Les paroles de la chanson
« Souvenez-vous »
Julien Clerc
Souvenez-vous du soir de chance
Où nous avons, déjà complices
Après l’esquisse d’un pas de danse,
Quitté ces gens si ennuyeux
On aurait pu rouler plus loin
En s’arrêtant de temps en temps
Pour faire le plein
De désirs et de sentiments
On aurait vu la fin du film
Mais vous étiez déjà debout
Avant le bout de la bobine,
Souvenez-vous
Souvenez-vous, nous allions vite
De peur que la laideur s’invite
Comme dans ces contes
Où on raconte
Qu’il faut rentrer avant minuit
On aurait pu rouler sans fin
Dans les couleurs et les parfums
D’un autre temps
Celui d’avant les autoroutes
Quand on allait foulard au vent
Nos vies étaient un peu plus courtes
Mais nos cinémas permanents,
Souvenez-vous
Souvenez-vous, sur mon épaule
Que frôlait parfois votre joue
Vous fredonniez cet air idiot que la radio
Jouait pour nous
Souvenez-vous de nos paris,
De cette martingale incertaine
Puis de la vieille américaine
Qui nous ramenait
Vers Paris
On aurait pu rouler plus loin
En s’arrêtant de temps en temps
Pour faire le plein
De désirs et de sentiments
On aurait vu la fin du film
Mais vous étiez déjà debout
Avant le bout de la bobine,
Souvenez-vous
Où nous avons, déjà complices
Après l’esquisse d’un pas de danse,
Quitté ces gens si ennuyeux
On aurait pu rouler plus loin
En s’arrêtant de temps en temps
Pour faire le plein
De désirs et de sentiments
On aurait vu la fin du film
Mais vous étiez déjà debout
Avant le bout de la bobine,
Souvenez-vous
Souvenez-vous, nous allions vite
De peur que la laideur s’invite
Comme dans ces contes
Où on raconte
Qu’il faut rentrer avant minuit
On aurait pu rouler sans fin
Dans les couleurs et les parfums
D’un autre temps
Celui d’avant les autoroutes
Quand on allait foulard au vent
Nos vies étaient un peu plus courtes
Mais nos cinémas permanents,
Souvenez-vous
Souvenez-vous, sur mon épaule
Que frôlait parfois votre joue
Vous fredonniez cet air idiot que la radio
Jouait pour nous
Souvenez-vous de nos paris,
De cette martingale incertaine
Puis de la vieille américaine
Qui nous ramenait
Vers Paris
On aurait pu rouler plus loin
En s’arrêtant de temps en temps
Pour faire le plein
De désirs et de sentiments
On aurait vu la fin du film
Mais vous étiez déjà debout
Avant le bout de la bobine,
Souvenez-vous