Les paroles de la chanson
« Sous une ombrelle à chantilly »
Yvette Giraud
Souriant au ciel d’été
De toute sa beauté
A petits pas comptés
Elle passait sous une ombrelle à Chantilly
Sa robe d’organdi
Son petit air hardi
C’est simple, on aurait dit
Le paradis sous une ombrelle à Chantilly
Les messieurs murmuraient
La voyant si belle
"Ah, combien j’aimerais
Tenir son ombrelle!"
L’histoire n’a pas dit
Ce qu’elle répondit
Quand un charmant dandy
Lui prit le bras sous son ombrelle à Chantilly
Que firent-ils après?
Nul ne l’affirmerait
Les baisers sont discrets
Quand on est deux sous une ombrelle à Chantilly
Ah vraiment, quel joli temps
Pour enchaîner deux cœurs!
Jadis, il n’en fallait pas tant
Une ombrelle et puis voilà
Ah, comme il était doux de vivre en ce temps-là!
Mais que n’a-t-on pas dit
Quand chaque après-midi
Au bras de son dandy
On la revit sous son ombrelle à Chantilly
Pourtant, le deux juillet
La belle qui riait
Fleurie de blancs œillets
Se mariait sous une ombrelle à Chantilly
C’est ainsi qu’un beau jour
Grand-mère Isabelle
M’a parlé de l’amour
Et de son ombrelle
Et tout en l’écoutant
J’ai cru la voir trottant
Jolie comme à vingt ans
Le cœur battant sous son ombrelle à Chantilly
Depuis, je sais pourquoi
Grand-père a tant de joie
De la conduire au bois
Comme autrefois sous son ombrelle à Chantilly
Ah vraiment, quel joli temps
Pour enchaîner deux cœurs!
Jadis, il n’en fallait pas tant
Une ombrelle et puis voilà
Ah, vite que revienne ce joli temps-là!
De toute sa beauté
A petits pas comptés
Elle passait sous une ombrelle à Chantilly
Sa robe d’organdi
Son petit air hardi
C’est simple, on aurait dit
Le paradis sous une ombrelle à Chantilly
Les messieurs murmuraient
La voyant si belle
"Ah, combien j’aimerais
Tenir son ombrelle!"
L’histoire n’a pas dit
Ce qu’elle répondit
Quand un charmant dandy
Lui prit le bras sous son ombrelle à Chantilly
Que firent-ils après?
Nul ne l’affirmerait
Les baisers sont discrets
Quand on est deux sous une ombrelle à Chantilly
Ah vraiment, quel joli temps
Pour enchaîner deux cœurs!
Jadis, il n’en fallait pas tant
Une ombrelle et puis voilà
Ah, comme il était doux de vivre en ce temps-là!
Mais que n’a-t-on pas dit
Quand chaque après-midi
Au bras de son dandy
On la revit sous son ombrelle à Chantilly
Pourtant, le deux juillet
La belle qui riait
Fleurie de blancs œillets
Se mariait sous une ombrelle à Chantilly
C’est ainsi qu’un beau jour
Grand-mère Isabelle
M’a parlé de l’amour
Et de son ombrelle
Et tout en l’écoutant
J’ai cru la voir trottant
Jolie comme à vingt ans
Le cœur battant sous son ombrelle à Chantilly
Depuis, je sais pourquoi
Grand-père a tant de joie
De la conduire au bois
Comme autrefois sous son ombrelle à Chantilly
Ah vraiment, quel joli temps
Pour enchaîner deux cœurs!
Jadis, il n’en fallait pas tant
Une ombrelle et puis voilà
Ah, vite que revienne ce joli temps-là!