Les paroles de la chanson
« Söreen »
Richard Desjardins
Tu ris comme moi j’aime
et tu dessines bien.
Un jour tu seras mienne,
parole de chien.
La balle est partie vers toi,
j’avais visé le cœur.
Söreen, tu l’attrapas,
Nous serons toujours des vainqueurs.
Je n’aime pas Jimmy,
il te regarde en cachette.
Je sais qu’entre toi et lui
y a comme un magnet.
Viens j’ai des sous blancs,
je jure qu’ils sont à moi.
Söreen je t’offre, viens t’en
une bague en chocolat, une bague en chocolat.
Un jour, nous nous marierons
Söreen, oh Söreen, oh Söreen, oh Söreen.
La vie a soulevé tes seins
et tous mes ennemis.
L’Italie dans mes mains,
il me faut tuer Jimmy.
Qui allumera son cierge
à la porte de ta peau?
Qui flambera la vierge?
He ne my ne mo,
he ne my ne mo.
L’argent, maudit argent
ton père s’en fut ailleurs.
Rouge comme le sang,
ce camion de malheur.
Sur mon cœur de bois
je gossais des bombes.
Plus de lumière chez toi,
c’était la fin du monde,
c’était la fin du monde.
Paraît que tu vis au ciel
entre New-York et quelque part.
Moi, mes avions s’emmêlent
me vois-tu dans ton radar?
A la mine, à l’arèna,
je vois souvent Jimmy.
Lui et moi parfois
on se demande qui,
on se demande qui,
qui se repose
à l’ouest de ton cœur?
Qui métamorphose
ton ennui en bonheur?
Qui jouit du privilège
une fois la nuit venue,
qui mange ta pêche,
qui boit son jus?
Qui boit ton jus?
et tu dessines bien.
Un jour tu seras mienne,
parole de chien.
La balle est partie vers toi,
j’avais visé le cœur.
Söreen, tu l’attrapas,
Nous serons toujours des vainqueurs.
Je n’aime pas Jimmy,
il te regarde en cachette.
Je sais qu’entre toi et lui
y a comme un magnet.
Viens j’ai des sous blancs,
je jure qu’ils sont à moi.
Söreen je t’offre, viens t’en
une bague en chocolat, une bague en chocolat.
Un jour, nous nous marierons
Söreen, oh Söreen, oh Söreen, oh Söreen.
La vie a soulevé tes seins
et tous mes ennemis.
L’Italie dans mes mains,
il me faut tuer Jimmy.
Qui allumera son cierge
à la porte de ta peau?
Qui flambera la vierge?
He ne my ne mo,
he ne my ne mo.
L’argent, maudit argent
ton père s’en fut ailleurs.
Rouge comme le sang,
ce camion de malheur.
Sur mon cœur de bois
je gossais des bombes.
Plus de lumière chez toi,
c’était la fin du monde,
c’était la fin du monde.
Paraît que tu vis au ciel
entre New-York et quelque part.
Moi, mes avions s’emmêlent
me vois-tu dans ton radar?
A la mine, à l’arèna,
je vois souvent Jimmy.
Lui et moi parfois
on se demande qui,
on se demande qui,
qui se repose
à l’ouest de ton cœur?
Qui métamorphose
ton ennui en bonheur?
Qui jouit du privilège
une fois la nuit venue,
qui mange ta pêche,
qui boit son jus?
Qui boit ton jus?