Les paroles de la chanson
« Sophie »
Patrice Et Mario
Lorsque Sophie dansait
Tout le bal s’arrêtait
Séduit, émerveillé
Pour mieux la regarder
Tourbillonner, légère
Lorsque Sophie chantait
Tout le bal se taisait
Car sa voix, tout d’un coup
Semblait dire un secret
A chacun d’entre nous
Un peu plus qu’une sœur
Beaucoup plus qu’une amie
Elle avait tous les cœurs
Car, bien mieux que jolie
Elle avait du mystère
Lorsque Sophie rêvait
Le bal s’illuminait
Et nous aurions suivi
Jusqu’au bout de la nuit
Sophie et ses folies
Quand elle est arrivée ici
Un beau jour, dans ce coin désert
Nous avons aussitôt compris
Que le printemps succédait à l’hiver
Lorsque Sophie aima
Tout le monde trembla
Et ne put s’empêcher
De haïr l’étranger
Qui allait nous la prendre
Lorsque Sophie pleura
La colère gronda
On voulut la venger
Courir la consoler
Et surtout la garder
Mais on savait très bien
Qu’on n’y pouvait plus rien
Car, même dans ses pleurs
Son cœur était ailleurs
Trop loin pour nous entendre
Lorsque Sophie partit
Nous n’avons plus rien dit
Car chacun comprenait
Que nos vingt ans venaient
De partir à jamais
Tout le bal s’arrêtait
Séduit, émerveillé
Pour mieux la regarder
Tourbillonner, légère
Lorsque Sophie chantait
Tout le bal se taisait
Car sa voix, tout d’un coup
Semblait dire un secret
A chacun d’entre nous
Un peu plus qu’une sœur
Beaucoup plus qu’une amie
Elle avait tous les cœurs
Car, bien mieux que jolie
Elle avait du mystère
Lorsque Sophie rêvait
Le bal s’illuminait
Et nous aurions suivi
Jusqu’au bout de la nuit
Sophie et ses folies
Quand elle est arrivée ici
Un beau jour, dans ce coin désert
Nous avons aussitôt compris
Que le printemps succédait à l’hiver
Lorsque Sophie aima
Tout le monde trembla
Et ne put s’empêcher
De haïr l’étranger
Qui allait nous la prendre
Lorsque Sophie pleura
La colère gronda
On voulut la venger
Courir la consoler
Et surtout la garder
Mais on savait très bien
Qu’on n’y pouvait plus rien
Car, même dans ses pleurs
Son cœur était ailleurs
Trop loin pour nous entendre
Lorsque Sophie partit
Nous n’avons plus rien dit
Car chacun comprenait
Que nos vingt ans venaient
De partir à jamais