Les paroles de la chanson
« Son alsacienne »
Tohama
Elle était de Strasbourg
Et c’était une petite Alsacienne
Elle était faite au tour
Et les hommes tournaient tous autour
Elle avait l’air très doux
Et des yeux d’un bleu de porcelaine
Et puis même, entre nous,
Un accent qu’était gentil comme tout
Mais, au coin d’un carrefour
Une main soudain frôla la sienne
Quelqu’un lui dit : Bonjour
Et la belle sourit à son tour
Et ce fut comme ça
Que ça commença
Et vous supposez bien qu’après, ça continua
Pourtant, leur amour
Hélas, fut bien court
Un jour, elle dut rev’nir à Strasbourg
Mais, lui rêvait toujours
Aux grands yeux de sa belle Alsacienne
Et, le cœur plein d’amour,
Il attendait sans fin son retour
Il écrivait là-bas :
Ma chérie, je veux que tu reviennes
Elle ne demandait qu’ ça
C’est papa qui ne le voulait pas
Finalement, un beau jour
Il fut las d’attendre son Alsacienne
Et, quittant son faubourg
Pour l’Alsace, il partit à son tour
Aussitôt qu’il fut là
Elle le consola
Longtemps, elle le serra
Tendrement dans ses bras
Elle lui présenta maman et papa
Grand-père et puis la tante Frida
Et pour faire un p’tit tour
Il partit au bras d’ son Alsacienne
Admirant tour à tour
Et sa belle et les rues de Strasbourg
Il était si surpris,
Si content d’une pareille aubaine
Que le train de Paris
Tous les jours, s’en retournait sans lui
Et, sans plus de détours,
Il épousa la belle Alsacienne
Unissant pour toujours
Dans son cœur et l’Alsace et l’amour
Unissant pour toujours
Dans son cœur et l’Alsace et l’amour
Et c’était une petite Alsacienne
Elle était faite au tour
Et les hommes tournaient tous autour
Elle avait l’air très doux
Et des yeux d’un bleu de porcelaine
Et puis même, entre nous,
Un accent qu’était gentil comme tout
Mais, au coin d’un carrefour
Une main soudain frôla la sienne
Quelqu’un lui dit : Bonjour
Et la belle sourit à son tour
Et ce fut comme ça
Que ça commença
Et vous supposez bien qu’après, ça continua
Pourtant, leur amour
Hélas, fut bien court
Un jour, elle dut rev’nir à Strasbourg
Mais, lui rêvait toujours
Aux grands yeux de sa belle Alsacienne
Et, le cœur plein d’amour,
Il attendait sans fin son retour
Il écrivait là-bas :
Ma chérie, je veux que tu reviennes
Elle ne demandait qu’ ça
C’est papa qui ne le voulait pas
Finalement, un beau jour
Il fut las d’attendre son Alsacienne
Et, quittant son faubourg
Pour l’Alsace, il partit à son tour
Aussitôt qu’il fut là
Elle le consola
Longtemps, elle le serra
Tendrement dans ses bras
Elle lui présenta maman et papa
Grand-père et puis la tante Frida
Et pour faire un p’tit tour
Il partit au bras d’ son Alsacienne
Admirant tour à tour
Et sa belle et les rues de Strasbourg
Il était si surpris,
Si content d’une pareille aubaine
Que le train de Paris
Tous les jours, s’en retournait sans lui
Et, sans plus de détours,
Il épousa la belle Alsacienne
Unissant pour toujours
Dans son cœur et l’Alsace et l’amour
Unissant pour toujours
Dans son cœur et l’Alsace et l’amour