Les paroles de la chanson
« Solidão »
Bernard Lavilliers
J’ai vu des traces au couchant,
Dans la poussière du soleil,
Dans le silence du sang
D’un voyageur sans sommeil.
Il est seul, cerclé de lumière,
Quelque part, très loin de la mer.
Les gens l’appellent Solidão,
Il est très dur et très fier.
Poussé par les vents brûlants,
Il vient de l’intérieur des terres.
Maraghan et soleil de fer,
Ta chanson est particulière.
J’ai croisé ce cavalier,
Bardé de cuir et de croix,
Venu des terres brûlées
Du Piaui au Ciara.
Ou alors, c’était sa légende
Inventée dans la Sierra Grande.
Les colonels sanglants
Dictent la loi des plus forts.
Combien de siècles pourtant
Sont passés sans un remord,
Sans un cri, sans un commentaire.
Et toujours ce seigneur de guerre.
Les gens l’appellent Solidão,
Il est très dur et très fier.
Poussé par les vents brûlants,
Il vient de l’intérieur des terres.
Maraghan et soleil de fer,
Ta chanson est particulière.
Dans la poussière du soleil,
Dans le silence du sang
D’un voyageur sans sommeil.
Il est seul, cerclé de lumière,
Quelque part, très loin de la mer.
Les gens l’appellent Solidão,
Il est très dur et très fier.
Poussé par les vents brûlants,
Il vient de l’intérieur des terres.
Maraghan et soleil de fer,
Ta chanson est particulière.
J’ai croisé ce cavalier,
Bardé de cuir et de croix,
Venu des terres brûlées
Du Piaui au Ciara.
Ou alors, c’était sa légende
Inventée dans la Sierra Grande.
Les colonels sanglants
Dictent la loi des plus forts.
Combien de siècles pourtant
Sont passés sans un remord,
Sans un cri, sans un commentaire.
Et toujours ce seigneur de guerre.
Les gens l’appellent Solidão,
Il est très dur et très fier.
Poussé par les vents brûlants,
Il vient de l’intérieur des terres.
Maraghan et soleil de fer,
Ta chanson est particulière.