Les paroles de la chanson
« Soleil enfin »
Gold
Sur le cuir fauve des bagnoles
Ou noyés dans les fumées d’alcool
On passe du bleu d’enfer au gris ordianire
Vivre n’est pas simple à faire
Traîner l’ombre de soi-même
Loin de la mer et loin des sirènes
Quand l’ennui tombe du ciel
Qu’on se casse les ailes
C’est la faute à trop de mal
Soleil enfin
Comme un réveil, comme une éclaircie
J’attends la fin de ma longue nuit
J’ me fais des rêves pour demain
La visage plein de poussière
A force de marcher seul dans nos têtes
Le désert avance et gomme les frontières
On se perd dans les tempêtes
Les fils du vent n’ont rien d’autre
Que les océans qui les emportent
Ils savent tout de la peine et ses misères
La traversée du désert
Soleil enfin
Comme un appel, un cri vers le ciel
J’attends mon éclair, mon étincelle
J’attends le soleil enfin
Ou noyés dans les fumées d’alcool
On passe du bleu d’enfer au gris ordianire
Vivre n’est pas simple à faire
Traîner l’ombre de soi-même
Loin de la mer et loin des sirènes
Quand l’ennui tombe du ciel
Qu’on se casse les ailes
C’est la faute à trop de mal
Soleil enfin
Comme un réveil, comme une éclaircie
J’attends la fin de ma longue nuit
J’ me fais des rêves pour demain
La visage plein de poussière
A force de marcher seul dans nos têtes
Le désert avance et gomme les frontières
On se perd dans les tempêtes
Les fils du vent n’ont rien d’autre
Que les océans qui les emportent
Ils savent tout de la peine et ses misères
La traversée du désert
Soleil enfin
Comme un appel, un cri vers le ciel
J’attends mon éclair, mon étincelle
J’attends le soleil enfin