Les paroles de la chanson
« Soleil d'hiver »
Niagara
Elle n’était pas du genre à se faire remarquer.
C’était jamais elle qu’on invitait à danser.
Elle avait plutôt l’impression de gêner.
Peut-être avait-elle envie de tout casser.
Elle habitait plus loin, dans la rue d’à coté.
Je suis sûre que vous l’avez déjà rencontrée.
Son visage était transparent comme l’été
Mais elle avait toujours l’air de s’ennuyer.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
J’ai toujours su qu’elle allait partir en fumée.
Elle aurait tout donné pour se faire oublier.
Un matin, en silence, elle s’est défilée
Et elle est partie sur la pointe des pieds.
Elle avait décidé de ne plus s’inquiéter.
C’était la fin de l’hiver, mais elle s’en foutait.
Au bord du quai, doucement elle a sauté.
Ses cheveux, lentement, dans l’eau ont coulé.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
Elle avait décidé de ne plus s’inquiéter.
C’était la fin de l’hiver, mais elle s’en foutait.
Au bord du quai, doucement elle a sauté.
Ses cheveux, lentement, dans l’eau ont coulé.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
C’était jamais elle qu’on invitait à danser.
Elle avait plutôt l’impression de gêner.
Peut-être avait-elle envie de tout casser.
Elle habitait plus loin, dans la rue d’à coté.
Je suis sûre que vous l’avez déjà rencontrée.
Son visage était transparent comme l’été
Mais elle avait toujours l’air de s’ennuyer.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
J’ai toujours su qu’elle allait partir en fumée.
Elle aurait tout donné pour se faire oublier.
Un matin, en silence, elle s’est défilée
Et elle est partie sur la pointe des pieds.
Elle avait décidé de ne plus s’inquiéter.
C’était la fin de l’hiver, mais elle s’en foutait.
Au bord du quai, doucement elle a sauté.
Ses cheveux, lentement, dans l’eau ont coulé.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
Elle avait décidé de ne plus s’inquiéter.
C’était la fin de l’hiver, mais elle s’en foutait.
Au bord du quai, doucement elle a sauté.
Ses cheveux, lentement, dans l’eau ont coulé.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.
Elle voulait toucher le soleil.
Rien ne sera pareil,
Perdue dans son sommeil
Et puis les nuages étincellent
Sur des étangs de miel
Et mes larmes s’emmêlent.