Les paroles de la chanson
« Soleil cherche futur »
Hubert-Félix Thiéfaine
Chanson: Soleil Cherche Futur
L’infirmier de minuit distribue le cyanure
Et demande à Noé si le charter est prêt
Oh mec il manque encore les ours et les clônures
Mais les poux sont en rut faut décoller pas vrai
Et les voilà partis vers d’autres aventures
Vers les flèches où les fleurs flashent avec la folie
Et moi je reste assis les poumons dans la sciure
A filer mes temps morts à la mélancolie
Soleil, soleil
N’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé
Paraît que mon sorcier m’attend à Chihuaha
Ou bien dans un clandé brumeux de Singapour
Mais je traîne les PMU avec ma gueule de bois
En rêvant que la barmaid viendra me causer d’amour
Et je tombe sur l’autre chinetoque
Dans cette soute à proxos
Qui me dit viens prendre un verre tu m’as l’air fatigué
Laisse tomber ta cuti deviens ton mécano
C’est depuis le début du monde
Que l’homme s’est déchiré
Soleil, soleil
N’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé
Adieu Gary Cooper adieu Che Guevara
On se fait des idoles pour planquer nos moignons
Maintenant le vent s’engouffre dans les nirvânas
Et nous sommes prisonniers de nos regards bidons
Les monstres galactiques projettent nos bégaiements
Sur les murs de la sphère où nous rêvons d’amour
Mais dans les souterrains les rêveurs sont perdants
Serions-nous condamnés à nous sentir trop lourds
Soleil, soleil
N’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé
merci a mania pour les paroles
L’infirmier de minuit distribue le cyanure
Et demande à Noé si le charter est prêt
Oh mec il manque encore les ours et les clônures
Mais les poux sont en rut faut décoller pas vrai
Et les voilà partis vers d’autres aventures
Vers les flèches où les fleurs flashent avec la folie
Et moi je reste assis les poumons dans la sciure
A filer mes temps morts à la mélancolie
Soleil, soleil
N’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé
Paraît que mon sorcier m’attend à Chihuaha
Ou bien dans un clandé brumeux de Singapour
Mais je traîne les PMU avec ma gueule de bois
En rêvant que la barmaid viendra me causer d’amour
Et je tombe sur l’autre chinetoque
Dans cette soute à proxos
Qui me dit viens prendre un verre tu m’as l’air fatigué
Laisse tomber ta cuti deviens ton mécano
C’est depuis le début du monde
Que l’homme s’est déchiré
Soleil, soleil
N’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé
Adieu Gary Cooper adieu Che Guevara
On se fait des idoles pour planquer nos moignons
Maintenant le vent s’engouffre dans les nirvânas
Et nous sommes prisonniers de nos regards bidons
Les monstres galactiques projettent nos bégaiements
Sur les murs de la sphère où nous rêvons d’amour
Mais dans les souterrains les rêveurs sont perdants
Serions-nous condamnés à nous sentir trop lourds
Soleil, soleil
N’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé
merci a mania pour les paroles