Les paroles de la chanson
« Sœur adèle »
Sœur Sourire
C’était une guitare espagnole
Née d’un bouleau ou d’un sapin
Dans une boutique de Barcelone
Un beau matin du mois de juin
Au fond du cœur, une étiquette
Indique son identité
Et sa parole chaude et discrète
Etait bien douce à écouter
Dans une vitrine du vieux Bruxelles
On la suspendit par le cou
Puis certain jour, une demoiselle
S’en vint l’acheter pour quelques sous
Adieu flamencos chauds d’Espagne
Andalousie et corridas
Jolie guitare, ma compagne,
Adèle tu t’appeleras
Pour répondre à la voix divine
Qui l’invitait à sa moisson
La péronnelle, c’est moi, quitta la ville
Pour un couvent des environs
Adèle partit dans les bagages
Et commença son noviciat
Joyeuse et pleine de courage
Et chantant Dieu à pleine voix
Sur tous les tons, de toute son âme
Adèle s’est vouée au Seigneur
Et ses chansons partout proclament
Que servir Dieu, c’est son bonheur
Derrière les harpes et les cithares
Qui forment l’orchestre des cieux
On entendra, humble guitare,
Un jour, Adèle, chez le bon Dieu
Née d’un bouleau ou d’un sapin
Dans une boutique de Barcelone
Un beau matin du mois de juin
Au fond du cœur, une étiquette
Indique son identité
Et sa parole chaude et discrète
Etait bien douce à écouter
Dans une vitrine du vieux Bruxelles
On la suspendit par le cou
Puis certain jour, une demoiselle
S’en vint l’acheter pour quelques sous
Adieu flamencos chauds d’Espagne
Andalousie et corridas
Jolie guitare, ma compagne,
Adèle tu t’appeleras
Pour répondre à la voix divine
Qui l’invitait à sa moisson
La péronnelle, c’est moi, quitta la ville
Pour un couvent des environs
Adèle partit dans les bagages
Et commença son noviciat
Joyeuse et pleine de courage
Et chantant Dieu à pleine voix
Sur tous les tons, de toute son âme
Adèle s’est vouée au Seigneur
Et ses chansons partout proclament
Que servir Dieu, c’est son bonheur
Derrière les harpes et les cithares
Qui forment l’orchestre des cieux
On entendra, humble guitare,
Un jour, Adèle, chez le bon Dieu