Les paroles de la chanson
« Socrate »
Charles Dumont
J’en ai connu de souriants
Et même des qui ne sourient pas
Qui vous serrent la main franchement
En vous disant "Comment ça va?"
Des qui vous empruntent cent francs
Des qui vous donnent des leçons
Qui vous disent "Avec ton talent,
Tu devrais gagner des millions"
Bien sûr, y a ceux qu’on ne croit pas
Mais y a ceux qui se font une place
Et vous emmènent au cinéma
Des sentiments irrévocables,
On s’installe dans leur amitié
Comme dans le plus profond d’un lit
Un jour il faut se réveiller,
Ce n’était pas de vrais amis
Ami, tu nous tiens chaud
Mais comme le dit le philosophe
"Rien de plus commun que le mot,
Rien de plus rare que la chose"
J’en ai connu de jolies blondes
Et même de toutes les couleurs
Qui vous entraînent dans la ronde
Qui tourne autour de leur p’tit cœur,
Certaines sont comme des poèmes
Plus elles sont belles, plus elles font mal
Et elles vous disent des "Je t’aime"
Comme elles diraient "Allons au bal"
Bien sûr, y a celles qu’on ne croit pas
Mais y a celles qui se font une place
Et vous emmènent au cinéma
Des sentiments irrévocables,
On s’installe dans leur tendresse
Comme dans un coin de paradis
On se réveille en détresse
La belle amour, elle est partie
Amour, tu nous tiens chaud
Mais comme le dit le philosophe
"Rien de plus commun que le mot,
Rien de plus rare que la chose"
Et même des qui ne sourient pas
Qui vous serrent la main franchement
En vous disant "Comment ça va?"
Des qui vous empruntent cent francs
Des qui vous donnent des leçons
Qui vous disent "Avec ton talent,
Tu devrais gagner des millions"
Bien sûr, y a ceux qu’on ne croit pas
Mais y a ceux qui se font une place
Et vous emmènent au cinéma
Des sentiments irrévocables,
On s’installe dans leur amitié
Comme dans le plus profond d’un lit
Un jour il faut se réveiller,
Ce n’était pas de vrais amis
Ami, tu nous tiens chaud
Mais comme le dit le philosophe
"Rien de plus commun que le mot,
Rien de plus rare que la chose"
J’en ai connu de jolies blondes
Et même de toutes les couleurs
Qui vous entraînent dans la ronde
Qui tourne autour de leur p’tit cœur,
Certaines sont comme des poèmes
Plus elles sont belles, plus elles font mal
Et elles vous disent des "Je t’aime"
Comme elles diraient "Allons au bal"
Bien sûr, y a celles qu’on ne croit pas
Mais y a celles qui se font une place
Et vous emmènent au cinéma
Des sentiments irrévocables,
On s’installe dans leur tendresse
Comme dans un coin de paradis
On se réveille en détresse
La belle amour, elle est partie
Amour, tu nous tiens chaud
Mais comme le dit le philosophe
"Rien de plus commun que le mot,
Rien de plus rare que la chose"