Les paroles de la chanson
« So far away from la »
Nicolas Peyrac
Quelques lueurs d’aéroport,
L’étrange fille aux cheveux d’or,
Dans ma mémoire, traîne encore.
C’est l’hiver à San Francisco
Mais il ne tombe jamais d’eau
Aux confins du Colorado
Et le Golden Gate s’endort
Sur Alcatraz où traîne encore
Des sanglots couleur de prison.
Monsieur Caryl Chessman est mort
Mais le doute subsiste encore.
Avait-il raison ou bien tort?
So far away from L.A.,
So far ago from Frisco.
I’m no one but a shadow,
But a shadow...
A shadow.
Le Queen Mary est un hôtel
Au large de Beverley Hills
Et les collines se souviennent
Des fastes de la dynastie
Qui, de Garbo jusqu’à Bogie,
Faisait résonner ses folies.
So far away from L.A.,
So far ago from Frisco.
I’m no one but a shadow,
But a shadow...
A shadow.
Pauvre Madame Polanski :
D’un seul coup on t’a pris deux vies
Mais qui donc s’en souvient ici?
C’est l’hiver à San Francisco.
Je ne trouverai le repos
Qu’aux confins du Colorado.
So far away from L.A.,
So far ago from Frisco.
I’m no one but a shadow,
But a shadow...
A shadow.
L’étrange fille aux cheveux d’or,
Dans ma mémoire, traîne encore.
C’est l’hiver à San Francisco
Mais il ne tombe jamais d’eau
Aux confins du Colorado
Et le Golden Gate s’endort
Sur Alcatraz où traîne encore
Des sanglots couleur de prison.
Monsieur Caryl Chessman est mort
Mais le doute subsiste encore.
Avait-il raison ou bien tort?
So far away from L.A.,
So far ago from Frisco.
I’m no one but a shadow,
But a shadow...
A shadow.
Le Queen Mary est un hôtel
Au large de Beverley Hills
Et les collines se souviennent
Des fastes de la dynastie
Qui, de Garbo jusqu’à Bogie,
Faisait résonner ses folies.
So far away from L.A.,
So far ago from Frisco.
I’m no one but a shadow,
But a shadow...
A shadow.
Pauvre Madame Polanski :
D’un seul coup on t’a pris deux vies
Mais qui donc s’en souvient ici?
C’est l’hiver à San Francisco.
Je ne trouverai le repos
Qu’aux confins du Colorado.
So far away from L.A.,
So far ago from Frisco.
I’m no one but a shadow,
But a shadow...
A shadow.