Les paroles de la chanson
« Slave »
Mort Shuman
On est d’ici on est d’ailleurs
Toute sa vie on cherche un havre
Quelque part au fond de mon cœur
Moi je suis slave
Qu’on soit bourgeois ou grand seigneur
On a tous un ancêtre esclave
Quelque part au fond de ma peur
Moi je suis slave
Dans le ghetto de Varsovie
Autant de morts que d’hommes braves
J’y pense encore surtout la nuit
Moi je suis slave
Au bord d’un fleuve de Russie
Dans un cimetière de village
Mon nom et plusieurs voix y prient
Moi je suis slave
Au fond de la Pennsylvanie
Ou dans une rue Catalane
Je ne suis plus d’aucun pays
Quand j’entends un violon tzigane
Je vois la grande tour des xxxxx
Sur les glaces de la Neva
Et je chante comme un fou
Les chansons d’autrefois
On n’a pas toujours les yeux bleus
On n’a pas toujours la voix grave
Mais on est souvent marin ou xxxxx
Quand on est slave
Pourquoi ce besoin de chaleur
Ces greniers ces fonds de cales
Où l’on parle pendant des heures
Quand on est slave
Je suis l’enfant des sortilèges
Ils planent au d’ssus de ma vie
J’ai envie des traîneaux des neiges
Sur une plaine à l’infini
On est d’ici on est d’ailleurs
Toute sa vie on cherche un havre
Quelque part au fond de mon cœur
Moi je suis slave
Qu’on soit bourgeois ou grand seigneur
On a tous un ancêtre esclave
Quelque part au fond de ma peur
Moi je suis slave
Je suis slave, je suis slave
Toute sa vie on cherche un havre
Quelque part au fond de mon cœur
Moi je suis slave
Qu’on soit bourgeois ou grand seigneur
On a tous un ancêtre esclave
Quelque part au fond de ma peur
Moi je suis slave
Dans le ghetto de Varsovie
Autant de morts que d’hommes braves
J’y pense encore surtout la nuit
Moi je suis slave
Au bord d’un fleuve de Russie
Dans un cimetière de village
Mon nom et plusieurs voix y prient
Moi je suis slave
Au fond de la Pennsylvanie
Ou dans une rue Catalane
Je ne suis plus d’aucun pays
Quand j’entends un violon tzigane
Je vois la grande tour des xxxxx
Sur les glaces de la Neva
Et je chante comme un fou
Les chansons d’autrefois
On n’a pas toujours les yeux bleus
On n’a pas toujours la voix grave
Mais on est souvent marin ou xxxxx
Quand on est slave
Pourquoi ce besoin de chaleur
Ces greniers ces fonds de cales
Où l’on parle pendant des heures
Quand on est slave
Je suis l’enfant des sortilèges
Ils planent au d’ssus de ma vie
J’ai envie des traîneaux des neiges
Sur une plaine à l’infini
On est d’ici on est d’ailleurs
Toute sa vie on cherche un havre
Quelque part au fond de mon cœur
Moi je suis slave
Qu’on soit bourgeois ou grand seigneur
On a tous un ancêtre esclave
Quelque part au fond de ma peur
Moi je suis slave
Je suis slave, je suis slave