Les paroles de la chanson
« Si le vent »
Jean Arnulf
Si le vent mêle tes cheveux
Je ferai de mes doigts un peigne
Et rendrai leur ordre soyeux
A ces longues nattes chataîgne
Où ma bouche perdue se baigne
Fleur de fraîcheur et de feu
Je ferai de mes doigts un peigne
Si le vent mêle tes cheveux
Si la pluie mouille ta chemise
J’allumerai un feu de bois
A l’entrée de quelque remise
Et nous brûlerons tous les trois
Ton corps nu, mon cœur et le bois
Sous le ciel bas des poutres grises
J’allumerai un feu de bois
Si la pluie mouille ta chemise
Si l’hiver te blesse les mains
Je les cacherai dans mes poches
Riant, boitant sur le chemin
Nous parviendrons sans anicroche
Jusqu’à l’auberge la plus proche
Où je te servirai du vin
Je les cacherai dans mes poches
Si l’hiver te blesse les mains
Si le chagrin casse ton rire
Je t’emporterai au matin
Sur les ailes d’un beau navire
Voir quelque grand volcan éteint
Et les blancs soleils mexicains
Toute peine à la fin chavire
Je t’emporterai au matin
Si le chagrin casse ton rire
Si le temps vole ta jeunesse
Je verrai briller dans tes yeux
La belle histoire de ma jeunesse
Nous nous étonnerons tous deux
Si jeunes et déjà amoureux
Ne connaîtrons point la sagesse
Si le temps vole ta jeunesse
Je regarderai dans tes yeux
Je regarde...
Je ferai de mes doigts un peigne
Et rendrai leur ordre soyeux
A ces longues nattes chataîgne
Où ma bouche perdue se baigne
Fleur de fraîcheur et de feu
Je ferai de mes doigts un peigne
Si le vent mêle tes cheveux
Si la pluie mouille ta chemise
J’allumerai un feu de bois
A l’entrée de quelque remise
Et nous brûlerons tous les trois
Ton corps nu, mon cœur et le bois
Sous le ciel bas des poutres grises
J’allumerai un feu de bois
Si la pluie mouille ta chemise
Si l’hiver te blesse les mains
Je les cacherai dans mes poches
Riant, boitant sur le chemin
Nous parviendrons sans anicroche
Jusqu’à l’auberge la plus proche
Où je te servirai du vin
Je les cacherai dans mes poches
Si l’hiver te blesse les mains
Si le chagrin casse ton rire
Je t’emporterai au matin
Sur les ailes d’un beau navire
Voir quelque grand volcan éteint
Et les blancs soleils mexicains
Toute peine à la fin chavire
Je t’emporterai au matin
Si le chagrin casse ton rire
Si le temps vole ta jeunesse
Je verrai briller dans tes yeux
La belle histoire de ma jeunesse
Nous nous étonnerons tous deux
Si jeunes et déjà amoureux
Ne connaîtrons point la sagesse
Si le temps vole ta jeunesse
Je regarderai dans tes yeux
Je regarde...