Les paroles de la chanson
« Si je m'en tire »
Dolly
c’est comme ça
j’aime le seuil qu’on abîme
les orages que l’on se destine
et les fleurs que l’on s’envoie
comme je n’ose compter les coups
l’illusion est devant nous
c’est terrifiant comme il se doit
c’est la mer où tu me noies
si je m’en tire comme je respire
c’est que le souffle m’a manque
comme le sommeil à tes côtés
c’est comme ça
c’est depuis que l’on s’aime
que le vent s’epuise parfois
une éclaircie que l’on voit
au loin les routes sont plus tranquilles
et le soleil immobile
allons nous y passer la vie
allons nous passer l’hiver
si je m’en tire
comme je respire
c’est que le souffle m’a manque
comme le sommeil a tes cotes
et si je m’en tire
et si j’ose dire
l’air est le même à chaque fois
tu me manques comme je respire
c’est comme ça...
et si je m’en tire
et si j’ose dire
l’air est le même à chaque fois
tu me manques comme je respire
j’aime le seuil qu’on abîme
les orages que l’on se destine
et les fleurs que l’on s’envoie
comme je n’ose compter les coups
l’illusion est devant nous
c’est terrifiant comme il se doit
c’est la mer où tu me noies
si je m’en tire comme je respire
c’est que le souffle m’a manque
comme le sommeil à tes côtés
c’est comme ça
c’est depuis que l’on s’aime
que le vent s’epuise parfois
une éclaircie que l’on voit
au loin les routes sont plus tranquilles
et le soleil immobile
allons nous y passer la vie
allons nous passer l’hiver
si je m’en tire
comme je respire
c’est que le souffle m’a manque
comme le sommeil a tes cotes
et si je m’en tire
et si j’ose dire
l’air est le même à chaque fois
tu me manques comme je respire
c’est comme ça...
et si je m’en tire
et si j’ose dire
l’air est le même à chaque fois
tu me manques comme je respire