Les paroles de la chanson
« Si j'existe »
Anne-Laure Sibon
Tu les avais en toi et ils t’avaient en eux
Un sentiment plus fort que tout se dégageait
Quand nous parlions un peu
Aux heures de mise au point
Tout le monde au garde à vous
Et j’écouterais sans fin
Tes histoires de bataille
Entre la vie et nous
Je buvais tes paroles, elles venaient de si loin
Elles transperçaient mon corps
A me faire frissonner du début à la fin
Et une fois rechargéz, prête à tous les combats
Tu nous laissais partir
En nous disans je suis là
Si j’existe c’est qu’un jour
Tu m’as tendu la main
Et m’as donné ton sein par amour
Sans jamais compter
Sans aucune prétention
Et tu protégeais tes chouchoux de leurs démons
Tu n’as jamais cessé de croire en notre étoile
Tu disais que la vie récompense
Justement ceux qui ne font pas de mal
Les bons, les acharnés, ls génies, les manqués
Le bon dieu donne une place
A tous ceux qui savent encore donner
Tu dédramatisais nos échecs à la pelle
disant que note force était
De rester malgré tout tels quels
Agir avec son coeur son instinct
Et sans peur
Avancer tous les jours sans jamais oublier
Comme la vie est belle
Tu n’avais pas d’enfants
Et nous étions ta passion
Un sentiment plus fort que tout se dégageait
Quand nous parlions un peu
Aux heures de mise au point
Tout le monde au garde à vous
Et j’écouterais sans fin
Tes histoires de bataille
Entre la vie et nous
Je buvais tes paroles, elles venaient de si loin
Elles transperçaient mon corps
A me faire frissonner du début à la fin
Et une fois rechargéz, prête à tous les combats
Tu nous laissais partir
En nous disans je suis là
Si j’existe c’est qu’un jour
Tu m’as tendu la main
Et m’as donné ton sein par amour
Sans jamais compter
Sans aucune prétention
Et tu protégeais tes chouchoux de leurs démons
Tu n’as jamais cessé de croire en notre étoile
Tu disais que la vie récompense
Justement ceux qui ne font pas de mal
Les bons, les acharnés, ls génies, les manqués
Le bon dieu donne une place
A tous ceux qui savent encore donner
Tu dédramatisais nos échecs à la pelle
disant que note force était
De rester malgré tout tels quels
Agir avec son coeur son instinct
Et sans peur
Avancer tous les jours sans jamais oublier
Comme la vie est belle
Tu n’avais pas d’enfants
Et nous étions ta passion