Les paroles de la chanson
« Seule »
Georges Chelon
Tu me dis: "Je suis seule.
Pas un homme qui me veuille."
Tu me dis que je suis ton ami,
Dans tes moments de peine,
De dépression, de déveine,
Je viens m’asseoir au pied de ton lit.
Tu parles, je t’écoute.
C’est toujours la même route
Qui monte et qui tombe dans la nuit,
Je suis ta seule campagne.
Tous les autres sont des montagnes
Qui te font peur et que tu fuis.
Et puis tu me dis: "J’en ai marre,
Mon train ne quitte plus la gare,
Mais qu’il y reste, je partirai sans lui!
Je n’ai pas de bagages,
Tout juste un peu de courage
Pour me payer un voyage de nuit."
Moi, je te dis: "Regarde,
Ouvre ton cœur, baisse ta garde,
Va faire un tour du côté de la vie,
Suscite la tendresse,
La main pour qu’elle te caresse.
Crie au monde que tu es son amie.
Tu es de l’aventure
Comme le ruisseau qui murmure,
Comme la feuille, le vent et la pluie,
Il n’est de solitude
Que celle qui vient de l’habitude,
Comme il n’est inutile
Que les fruits de l’ennui."
Tu me dis: "Je suis seule,
Pas un homme qui me veuille."
Tu me dis que je suis ton ami.
Dans tes moments de peine,
De dépression, de déveine,
Je viens m’asseoir au pied de ton lit.
Pas un homme qui me veuille."
Tu me dis que je suis ton ami,
Dans tes moments de peine,
De dépression, de déveine,
Je viens m’asseoir au pied de ton lit.
Tu parles, je t’écoute.
C’est toujours la même route
Qui monte et qui tombe dans la nuit,
Je suis ta seule campagne.
Tous les autres sont des montagnes
Qui te font peur et que tu fuis.
Et puis tu me dis: "J’en ai marre,
Mon train ne quitte plus la gare,
Mais qu’il y reste, je partirai sans lui!
Je n’ai pas de bagages,
Tout juste un peu de courage
Pour me payer un voyage de nuit."
Moi, je te dis: "Regarde,
Ouvre ton cœur, baisse ta garde,
Va faire un tour du côté de la vie,
Suscite la tendresse,
La main pour qu’elle te caresse.
Crie au monde que tu es son amie.
Tu es de l’aventure
Comme le ruisseau qui murmure,
Comme la feuille, le vent et la pluie,
Il n’est de solitude
Que celle qui vient de l’habitude,
Comme il n’est inutile
Que les fruits de l’ennui."
Tu me dis: "Je suis seule,
Pas un homme qui me veuille."
Tu me dis que je suis ton ami.
Dans tes moments de peine,
De dépression, de déveine,
Je viens m’asseoir au pied de ton lit.