Les paroles de la chanson
« Seul au beau millieu d'un lac »
Johnny Hallyday
Seul au beau milieu d’un lac
Seul au beau milieu d’un lac.
Seul au beau milieu d’un lac, sur mon vieux bateau qui craque... J’attends.
La brise du devenir, et le souffle du désir... Le vent
Sur mon vieux bateau qui craque, sur l’océan, sur ma flaque... J’attends.
Que les hommes me fassent moins peur, que renaisse en moi mon coeur... D’enfant.
Malhabile dans les villes, loin des foules imbéciles... J’attends.
Je suis dans mon rève au coin d’un bois, pendant qu’les hommes n’y sont pas, je suis,
Un peu rebelle un peu poête, en tous cas bien dans ma tête, j’oublie,
Ce monde usé qui se noie, sans idéal et sans joie... M’ennuie.
Ho ce monde m’ennuie.
Quand regonflera ma voile, je relèverai les étoiles... Oui yeah.
Dans tes grands yeux sans espoirs, qui ne semblent plus vouloir... Réver.
Nous repartirons ma belle, nous réchauffer au soleil... D’été.
Si les hommes nous lachent du lest, nous célèbrerons le geste... D’aimer.
Seul au beau milieu d’un lac, sur mon vieux bateau qui craque... J’attends.
La brise du devenir, et le souffle du désir... Le vent
Sur mon vieux bateau qui craque, sur l’océan, sur ma flaque... J’attends.
Que les hommes me fassent moins peur, que renaisse en moi mon coeur... D’enfant.
Seul au beau milieu d’un lac.
Seul au beau milieu d’un lac, sur mon vieux bateau qui craque... J’attends.
La brise du devenir, et le souffle du désir... Le vent
Sur mon vieux bateau qui craque, sur l’océan, sur ma flaque... J’attends.
Que les hommes me fassent moins peur, que renaisse en moi mon coeur... D’enfant.
Malhabile dans les villes, loin des foules imbéciles... J’attends.
Je suis dans mon rève au coin d’un bois, pendant qu’les hommes n’y sont pas, je suis,
Un peu rebelle un peu poête, en tous cas bien dans ma tête, j’oublie,
Ce monde usé qui se noie, sans idéal et sans joie... M’ennuie.
Ho ce monde m’ennuie.
Quand regonflera ma voile, je relèverai les étoiles... Oui yeah.
Dans tes grands yeux sans espoirs, qui ne semblent plus vouloir... Réver.
Nous repartirons ma belle, nous réchauffer au soleil... D’été.
Si les hommes nous lachent du lest, nous célèbrerons le geste... D’aimer.
Seul au beau milieu d’un lac, sur mon vieux bateau qui craque... J’attends.
La brise du devenir, et le souffle du désir... Le vent
Sur mon vieux bateau qui craque, sur l’océan, sur ma flaque... J’attends.
Que les hommes me fassent moins peur, que renaisse en moi mon coeur... D’enfant.