Les paroles de la chanson
« Seul à seule »
Jacques Higelin
Seul
dans le silence
insondable de la nuit
Manhattan dans une chambre d’hôtel
somnifère contre l’insomnie
A quelle oreille confier le poids d’un chagrin
quelle rieveuse éveillée
entendra dans la nuit
battre mon cœur
le temps n’attend pas, il suit son cours
le temps n’entend rien aux chansons d’amour
insensible il passe et tire à bout portant
sur les marchands de souvenirs
Où que tu sois je te retrouverai un jour
si loin que je paraisse, tu me retrouveras
au détour d’un rêve ou bien autour de la place
des retrouvailles
où l’on s’est vu pour la dernière et la
première fois de nos
envies
Seul
entre les rails
de l’abandon, de l’oubli
déconnecté du monde extérieur
où tu recommences ta vie
Les sanglots longs des violons de l’automne
déposent en mon âme
le chant si monotone
de la douleur
Je voudrais pas claquer sans te revoir
sur le quai de la gare où tu m’as plaqué
sans un regret, sans un remords
pour la beauté
de nos corps à corps
même si rein ne va plus, si les jeux sont faits
souviens-toi de la trouble attirance
des enfants de l’amour pour les jeux interdits
et n’oublie jamais
que la danse des âmes est inscrite au cœur
du grand livre d’or du bonheur
dans le silence
insondable de la nuit
Manhattan dans une chambre d’hôtel
somnifère contre l’insomnie
A quelle oreille confier le poids d’un chagrin
quelle rieveuse éveillée
entendra dans la nuit
battre mon cœur
le temps n’attend pas, il suit son cours
le temps n’entend rien aux chansons d’amour
insensible il passe et tire à bout portant
sur les marchands de souvenirs
Où que tu sois je te retrouverai un jour
si loin que je paraisse, tu me retrouveras
au détour d’un rêve ou bien autour de la place
des retrouvailles
où l’on s’est vu pour la dernière et la
première fois de nos
envies
Seul
entre les rails
de l’abandon, de l’oubli
déconnecté du monde extérieur
où tu recommences ta vie
Les sanglots longs des violons de l’automne
déposent en mon âme
le chant si monotone
de la douleur
Je voudrais pas claquer sans te revoir
sur le quai de la gare où tu m’as plaqué
sans un regret, sans un remords
pour la beauté
de nos corps à corps
même si rein ne va plus, si les jeux sont faits
souviens-toi de la trouble attirance
des enfants de l’amour pour les jeux interdits
et n’oublie jamais
que la danse des âmes est inscrite au cœur
du grand livre d’or du bonheur