Les paroles de la chanson
« Seul »
Don Juan
Seul, comme en exil
Comme un naufragé sur son île
Comme le funambule sur un fil
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort
C’est se croire en vie même quand on est mort
C’est abandonner sa chance à un autre
Sans jamais pouvoir oublier sa faute
Seul parce que l’amour a changé de camp
C’est des cris de peine, mais qui les entend?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes
Qu’on n’a pas voulu regarder les signes
Parce qu’on écoutait sans jamais le croire
Quand l’amour s’en va, c’est toujours trop tard
Seul, c’est une nuit qui n’en finit pas
C’est une elle sans lui, c’est un toi sans moi
Seul, comme en équilibre
Seul, prisonnier parce qu’on est libre
Seul comme une histoire sans son livre
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort
C’est se croire en vie même quand on est mort
C’est abandonner sa chance à un autre
Sans jamais pouvoir oublier sa faute
Seul parce que l’amour a changé de camp
C’est des cris de peine, mais qui les entend?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes
Qu’on n’a pas voulu regarder les signes
Parce qu’on écoutait sans jamais le croire
Quand l’amour s’en va, c’est toujours trop tard
Seul, c’est une nuit qui n’en finit pas
C’est une elle sans lui, c’est un toi sans moi
Seul, qui n’a jamais été seul?
Seul, ma place à ceux qui la veulent
Seul comme un condamné devant l’échafaud
Comme un innocent devant son bourreau
Seul comme un enfant qui cherche son père
Seul comme le mendiant qui s’endort à terre
Parce qu’on a passé sa vie sans la voir
On se trouve seul devant son miroir
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort
C’est se croire en vie même quand on est mort
C’est abandonner sa chance à un autre
Sans jamais pouvoir oublier sa faute
Seul parce que l’amour a changé de camp
C’est des cris de peine, mais qui les entend?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes
Qu’on n’a pas voulu regarder les signes
Parce qu’on écoutait sans jamais le croire
Quand l’amour s’en va, c’est toujours trop tard
Seul, c’est une nuit qui n’en finit pas
C’est une elle sans lui, c’est un toi sans moi
Seul comme un condamné devant l’échafaud
Comme un innocent devant son bourreau
Seul comme un enfant qui cherche son père
Seul comme le mendiant qui s’endort à terre
Parce qu’on a passé sa vie sans la voir
On se trouve seul devant son miroir
Seul
Comme un naufragé sur son île
Comme le funambule sur un fil
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort
C’est se croire en vie même quand on est mort
C’est abandonner sa chance à un autre
Sans jamais pouvoir oublier sa faute
Seul parce que l’amour a changé de camp
C’est des cris de peine, mais qui les entend?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes
Qu’on n’a pas voulu regarder les signes
Parce qu’on écoutait sans jamais le croire
Quand l’amour s’en va, c’est toujours trop tard
Seul, c’est une nuit qui n’en finit pas
C’est une elle sans lui, c’est un toi sans moi
Seul, comme en équilibre
Seul, prisonnier parce qu’on est libre
Seul comme une histoire sans son livre
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort
C’est se croire en vie même quand on est mort
C’est abandonner sa chance à un autre
Sans jamais pouvoir oublier sa faute
Seul parce que l’amour a changé de camp
C’est des cris de peine, mais qui les entend?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes
Qu’on n’a pas voulu regarder les signes
Parce qu’on écoutait sans jamais le croire
Quand l’amour s’en va, c’est toujours trop tard
Seul, c’est une nuit qui n’en finit pas
C’est une elle sans lui, c’est un toi sans moi
Seul, qui n’a jamais été seul?
Seul, ma place à ceux qui la veulent
Seul comme un condamné devant l’échafaud
Comme un innocent devant son bourreau
Seul comme un enfant qui cherche son père
Seul comme le mendiant qui s’endort à terre
Parce qu’on a passé sa vie sans la voir
On se trouve seul devant son miroir
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort
C’est se croire en vie même quand on est mort
C’est abandonner sa chance à un autre
Sans jamais pouvoir oublier sa faute
Seul parce que l’amour a changé de camp
C’est des cris de peine, mais qui les entend?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes
Qu’on n’a pas voulu regarder les signes
Parce qu’on écoutait sans jamais le croire
Quand l’amour s’en va, c’est toujours trop tard
Seul, c’est une nuit qui n’en finit pas
C’est une elle sans lui, c’est un toi sans moi
Seul comme un condamné devant l’échafaud
Comme un innocent devant son bourreau
Seul comme un enfant qui cherche son père
Seul comme le mendiant qui s’endort à terre
Parce qu’on a passé sa vie sans la voir
On se trouve seul devant son miroir
Seul