Les paroles de la chanson
« Septième ciel »
Marie Cherrier
J’te connais pas beaucoup,
Mais j’peux t’dire qu’entre nous,
Y a d’jà un gros ballon
Jaune, avec des rayons.
Ça s’appelle un soleil,
Un soleil d’amour,
Que quand je me réveille
Je pense à toi toujours.
Mais quand on s’est r’trouvé sous l’drap,
T’avais pris ton pied, pas moi,
Pis aussitôt tu m’laisses tomber,
Un peu plus c’est moi qui le f’sais.
Pis tu t’es barré dans l’espoir
Que j’t’attendrais tous les soirs
Ohoho
Y a aussi l’gars du bureau,
Qu’Jocelyne elle trouve que c’est l’plus beau,
Avec son blue jean bien délavé,
Et l’blouson d’cuir pas trop troué.
Déjà je m’voyais partir,
J’m’imaginais sur sa moto,
Cheveux au vent, ne plus rev’nir,
Mais lui s’accroche à son bureau.
Pis quand on s’est r’trouvé sous l’drap,
Il avait pris ton pied, pas moi,
Pis aussitôt y m’laisse tomber,
Un peu plus c’est moi qui le f’sais.
Pis y s’est barré dans l’espoir
Que j’l’attendrais tous les soirs
Ohoho
J’m’en fous j’en ai d’la r’ssource d’amour,
Souvent même un peu trop, toujours
D’ailleurs un vrai con est passé,
D’vant moi et j’me suis accrochée.
T’façons l’histoire ne change pas,
L’premier crétin il est pour moi.
C’ui là je pouvais pas l’louper,
C’est l’plus glorieux de mes trophées.
Et quand on s’est r’trouvé sous l’drap,
Il avait pris ton pied, pas moi,
Pis aussitôt y m’laisse tomber,
Un peu plus c’est moi qui le f’sais.
Pis y s’est barré dans l’espoir
Que j’l’attendrais tous les soirs
Ohoho
J’peux miser encore sur Gérard,
Qui lui m’a bien dit l’autre soir,
Que j’avais d’supers beaux yeux,
Qu’il aim’rait bien être comme eux.
C’est vrai qu’c’était pas Apollon,
D’apparence pas l’dieu d’l’édredon,
Mais c’est pourtant lui mes amis,
Le seul qui m’ait fait crier oui.
Et les autres rats qui ont rongé
Quelques maigres de mes nuits,
Désormais je peux les narguer,
Et de là-haut je leur souris.
Bel endroit que
Le septième ciel,
J’vous l’dis messieurs,
J’redescends pas.
Mais j’peux t’dire qu’entre nous,
Y a d’jà un gros ballon
Jaune, avec des rayons.
Ça s’appelle un soleil,
Un soleil d’amour,
Que quand je me réveille
Je pense à toi toujours.
Mais quand on s’est r’trouvé sous l’drap,
T’avais pris ton pied, pas moi,
Pis aussitôt tu m’laisses tomber,
Un peu plus c’est moi qui le f’sais.
Pis tu t’es barré dans l’espoir
Que j’t’attendrais tous les soirs
Ohoho
Y a aussi l’gars du bureau,
Qu’Jocelyne elle trouve que c’est l’plus beau,
Avec son blue jean bien délavé,
Et l’blouson d’cuir pas trop troué.
Déjà je m’voyais partir,
J’m’imaginais sur sa moto,
Cheveux au vent, ne plus rev’nir,
Mais lui s’accroche à son bureau.
Pis quand on s’est r’trouvé sous l’drap,
Il avait pris ton pied, pas moi,
Pis aussitôt y m’laisse tomber,
Un peu plus c’est moi qui le f’sais.
Pis y s’est barré dans l’espoir
Que j’l’attendrais tous les soirs
Ohoho
J’m’en fous j’en ai d’la r’ssource d’amour,
Souvent même un peu trop, toujours
D’ailleurs un vrai con est passé,
D’vant moi et j’me suis accrochée.
T’façons l’histoire ne change pas,
L’premier crétin il est pour moi.
C’ui là je pouvais pas l’louper,
C’est l’plus glorieux de mes trophées.
Et quand on s’est r’trouvé sous l’drap,
Il avait pris ton pied, pas moi,
Pis aussitôt y m’laisse tomber,
Un peu plus c’est moi qui le f’sais.
Pis y s’est barré dans l’espoir
Que j’l’attendrais tous les soirs
Ohoho
J’peux miser encore sur Gérard,
Qui lui m’a bien dit l’autre soir,
Que j’avais d’supers beaux yeux,
Qu’il aim’rait bien être comme eux.
C’est vrai qu’c’était pas Apollon,
D’apparence pas l’dieu d’l’édredon,
Mais c’est pourtant lui mes amis,
Le seul qui m’ait fait crier oui.
Et les autres rats qui ont rongé
Quelques maigres de mes nuits,
Désormais je peux les narguer,
Et de là-haut je leur souris.
Bel endroit que
Le septième ciel,
J’vous l’dis messieurs,
J’redescends pas.