Les paroles de la chanson
« Saudade »
Bernard Lavilliers
C’est bien planqué au fond de l’âme
C’est un frisson au goût amer
Ce n’est pas les violons du drame
Ça met du gris dans tes yeux verts
Ce n’est pas la mélancolie - mais encore
Ce n’est pas le blues infini - mais encore
C’est pas non plus la mélodie - de la mort
Des accords et encore
C’est une femme entr’aperçue dans un port
Une mélodie dont on a plus les accords
C’est un poème très ancien sur l’amour, sur la vie
Et la mort
Si la Saudade est dans les nuages - le parfum subtil
De la nostalgie
Elle a le visage de lointains voyages - c’est un grand voilier
Qu’on a jamais pris - qu’on a jamais pris
Ça vient de loin et en douceur
Cette douleur qui sent la marge
C’est comme un souffle sur ton coeur
Ça porte un joli nom Saudade
Si tu ne la vois pas venir - elle te voit
Si tu essayes de la fuir - oublie ça
Et même si tu veux en finir - Elle veut pas
Elle se serre contre toi
C’est la maîtresse des musiciens - des poètes
C’est la frangine des vauriens - de la fête
Elle est planquée dans les plus belles mélodies
Quand elle pleure, elle sourit
Si la Saudade est dans les nuages - le parfum subtil
De la nostalgie
Elle a le visage de lointains voyages - c’est un grand voilier
Qu’on a jamais pris - qu’on a jamais pris
C’est un frisson au goût amer
Ce n’est pas les violons du drame
Ça met du gris dans tes yeux verts
Ce n’est pas la mélancolie - mais encore
Ce n’est pas le blues infini - mais encore
C’est pas non plus la mélodie - de la mort
Des accords et encore
C’est une femme entr’aperçue dans un port
Une mélodie dont on a plus les accords
C’est un poème très ancien sur l’amour, sur la vie
Et la mort
Si la Saudade est dans les nuages - le parfum subtil
De la nostalgie
Elle a le visage de lointains voyages - c’est un grand voilier
Qu’on a jamais pris - qu’on a jamais pris
Ça vient de loin et en douceur
Cette douleur qui sent la marge
C’est comme un souffle sur ton coeur
Ça porte un joli nom Saudade
Si tu ne la vois pas venir - elle te voit
Si tu essayes de la fuir - oublie ça
Et même si tu veux en finir - Elle veut pas
Elle se serre contre toi
C’est la maîtresse des musiciens - des poètes
C’est la frangine des vauriens - de la fête
Elle est planquée dans les plus belles mélodies
Quand elle pleure, elle sourit
Si la Saudade est dans les nuages - le parfum subtil
De la nostalgie
Elle a le visage de lointains voyages - c’est un grand voilier
Qu’on a jamais pris - qu’on a jamais pris