Les paroles de la chanson
« Sans humour »
Tom Novembre
{Parlé:}
"Cesse de faire le guignol, chéri. Tu n’es pas drôle. Tes plaisanteries depuis le temps, je les connais, je les entends toute la journée. Je te demande juste un peu d’ sérieux. Sois raisonnable, fais-moi plaisir. La vie n’est pas seulement un jeu. Je ne comprends pas ce qui t’ fait rire?"
Il lui raconte une blague, elle ne réagit pas
Elle lui fait une grimace mais il reste de bois
Comme un tueur à gag en face d’un hors-la-joie
Un duel dans l’impasse, finita la comedia
Chaude, chaude l’ambiance réglée sur le premier degré
Ceux-là font plus la différence quand c’est faux, quand c’est vrai
Plus rien ne les amuse, plus rien ne les distrait
Du souci qui les use, de leur tranquillité
{Refrain:}
Sans humour, sans humour, sans humour
Triste amour, triste amour
Sans humour, sans humour, sans humour
Triste amour, triste amour... rire
Ils disent qu’ils n’ont plus l’âge des enfantillages
Que celui qui fait l’ pitre perd sa voix au chapitre
Ils déjeunent à l’écart et ils font chambre à part
Leur bonheur conjugal a un goût d’eau minérale
{au Refrain}
Tous deux, ils déambulent sans prendre de recul
Dans les corridors gris des habitudes austères
Comme deux amants frigides, comme deux hiboux sévères
Qui rient quand ils se brûlent par peur du ridicule
{au Refrain, ad lib}
"Cesse de faire le guignol, chéri. Tu n’es pas drôle. Tes plaisanteries depuis le temps, je les connais, je les entends toute la journée. Je te demande juste un peu d’ sérieux. Sois raisonnable, fais-moi plaisir. La vie n’est pas seulement un jeu. Je ne comprends pas ce qui t’ fait rire?"
Il lui raconte une blague, elle ne réagit pas
Elle lui fait une grimace mais il reste de bois
Comme un tueur à gag en face d’un hors-la-joie
Un duel dans l’impasse, finita la comedia
Chaude, chaude l’ambiance réglée sur le premier degré
Ceux-là font plus la différence quand c’est faux, quand c’est vrai
Plus rien ne les amuse, plus rien ne les distrait
Du souci qui les use, de leur tranquillité
{Refrain:}
Sans humour, sans humour, sans humour
Triste amour, triste amour
Sans humour, sans humour, sans humour
Triste amour, triste amour... rire
Ils disent qu’ils n’ont plus l’âge des enfantillages
Que celui qui fait l’ pitre perd sa voix au chapitre
Ils déjeunent à l’écart et ils font chambre à part
Leur bonheur conjugal a un goût d’eau minérale
{au Refrain}
Tous deux, ils déambulent sans prendre de recul
Dans les corridors gris des habitudes austères
Comme deux amants frigides, comme deux hiboux sévères
Qui rient quand ils se brûlent par peur du ridicule
{au Refrain, ad lib}