Les paroles de la chanson
« Samedi soir à beyrouth »
Bernard Lavilliers
Samedi soir à Beyrouth
Femmes voilées, dévoilées
Blocus sur l’autoroute
Dans leurs voitures blindées
Samedi soir à Beyrouth
Univers séparés
Solitaires sous la voûte
Céleste, foudroyée
Moitié charnelle, moitié voilée
Bien trop lointaine, beaucoup trop près
Les cloches sonnent, les minarets
Voix monotones et chapelets
Soleil rutilant des vitrines
Désintégrées par la machine
Samedi soir à Beyrouth
Cicatrices fardées
Mystérieuse et farouche
Drôle et désespérée
Samedi soir à Beyrouth
Quels que soient les quartiers
Ne veut pas croire sans doute
A la guerre annoncée
Vie souterraine, presque emmurée
Comme une reine très courtisée
Moitié charnelle, moitié rêvée
Bien trop lointaine, beaucoup trop près
Les soleils pourpres, soleils voilés
Le fantôme de la liberté
Samedi soir à Beyrouth
La nuit s’est déchirée
Personne sur l’autoroute
Solitaire, foudroyée
Femmes voilées, dévoilées
Blocus sur l’autoroute
Dans leurs voitures blindées
Samedi soir à Beyrouth
Univers séparés
Solitaires sous la voûte
Céleste, foudroyée
Moitié charnelle, moitié voilée
Bien trop lointaine, beaucoup trop près
Les cloches sonnent, les minarets
Voix monotones et chapelets
Soleil rutilant des vitrines
Désintégrées par la machine
Samedi soir à Beyrouth
Cicatrices fardées
Mystérieuse et farouche
Drôle et désespérée
Samedi soir à Beyrouth
Quels que soient les quartiers
Ne veut pas croire sans doute
A la guerre annoncée
Vie souterraine, presque emmurée
Comme une reine très courtisée
Moitié charnelle, moitié rêvée
Bien trop lointaine, beaucoup trop près
Les soleils pourpres, soleils voilés
Le fantôme de la liberté
Samedi soir à Beyrouth
La nuit s’est déchirée
Personne sur l’autoroute
Solitaire, foudroyée