Les paroles de la chanson
« Saint-tropez village »
François Deguelt
Moi qui croyais passer l’été
À Saint-Tropez, décontracté
Moi qui croyais revoir la Méditerranée
Et m’en aller vers les midi
Rejoindre au Café de Paris
L’ami André et les pêcheurs
Un p’tit pastis pour la chaleur
Après le bain
Comme on est bien
Quand vient le soir
On va s’asseoir
Chez Georges Bain
Entre copains
Café des Arts
On va dîner sous les platanes
Il y a toujours de jolies femmes
"Bonsoir Poupette, bonsoir Didi
Vos pauvres maris sont à Paris
Venez demain
On sera bien
Chez Geneviève
Amenez vos chiens
Et vos bouquins
Et tous vos rêves"
Rêvons sous les pins parasols
Il cielo, il mare, il sol
Mais quel est donc cet Italien?
C’est le dernier play-boy du coin
Et vers huit heures
À la fraîcheur
Quand on se glisse
Parmi la foule
Des joueurs de boules
Place des Lices
Pour retrouver dans leur décor
Sacha Distel et Salvador
Eddie Barclay en blazer noir
Aussi bronzé que son cigare
Moi qui croyais passer l’été près de la rive
Je suis sur l’eau, sur mon bateau, à la dérive
Un fort mistral m’a emporté
Qui sait jusqu’où je m’en irai?
Peut-être en Corse ou en Afrique
Peut-être encore jusqu’aux tropiques
Moi qui croyais passer l’été
À Saint-Tropez
À Saint-Tropez, décontracté
Moi qui croyais revoir la Méditerranée
Et m’en aller vers les midi
Rejoindre au Café de Paris
L’ami André et les pêcheurs
Un p’tit pastis pour la chaleur
Après le bain
Comme on est bien
Quand vient le soir
On va s’asseoir
Chez Georges Bain
Entre copains
Café des Arts
On va dîner sous les platanes
Il y a toujours de jolies femmes
"Bonsoir Poupette, bonsoir Didi
Vos pauvres maris sont à Paris
Venez demain
On sera bien
Chez Geneviève
Amenez vos chiens
Et vos bouquins
Et tous vos rêves"
Rêvons sous les pins parasols
Il cielo, il mare, il sol
Mais quel est donc cet Italien?
C’est le dernier play-boy du coin
Et vers huit heures
À la fraîcheur
Quand on se glisse
Parmi la foule
Des joueurs de boules
Place des Lices
Pour retrouver dans leur décor
Sacha Distel et Salvador
Eddie Barclay en blazer noir
Aussi bronzé que son cigare
Moi qui croyais passer l’été près de la rive
Je suis sur l’eau, sur mon bateau, à la dérive
Un fort mistral m’a emporté
Qui sait jusqu’où je m’en irai?
Peut-être en Corse ou en Afrique
Peut-être encore jusqu’aux tropiques
Moi qui croyais passer l’été
À Saint-Tropez