Les paroles de la chanson
« Saint paul de vence »
Chanson Plus Bifluorée
Il y avait du soleil partout
C’était en plein mois d’août
La Provence était belle
Souviens-toi Isabelle
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
Moi dans mon coupé Ferrari
Je chantais Let it be
Toi tu cueillais des figues
Au milieu d’la garrigue
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
L’air était chaud c’était
En été qu’on s’était
Qu’on s’était rencontrés
Car au départ rien ne pouvait laisser penser
Qu’on allait se rencontrer
[Refrain] :
Nous deux, on s’est rencontrés par hasard
Nous deux, sur un air de guitare
Nous deux on s’est aimés le premier soir
Presque sans s’en apercevoir
Moi je t’ai emmenée dans ce bal
Du village médiéval
Je m’suis mis au piano
J’ai joué comme Obispo
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
J’ai chanté tous les grands succès
En français, en anglais
J’ai même improvisé
Les gens étaient sciés
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
Je n’oublierai jamais
Le désir que j’avais
Que j’avais de t’aimer
Car au départ rien ne pouvait laisser penser
Qu’on allait se rencontrer
[Refrain]
Nous deux, on est partis main dans la main dans les ruelles de Saint-Paul. Les gens nous souriaient. C’est fou comme les gens savent sourier à Saint-Paul. Peut-être est-ce l’entourage de tous ces peintres, de tous ces vendeurs d’essence de lavande, de thym, de romarin, de sauge, de sariette...
C’était en plein mois d’août
La Provence était belle
Souviens-toi Isabelle
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
Moi dans mon coupé Ferrari
Je chantais Let it be
Toi tu cueillais des figues
Au milieu d’la garrigue
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
L’air était chaud c’était
En été qu’on s’était
Qu’on s’était rencontrés
Car au départ rien ne pouvait laisser penser
Qu’on allait se rencontrer
[Refrain] :
Nous deux, on s’est rencontrés par hasard
Nous deux, sur un air de guitare
Nous deux on s’est aimés le premier soir
Presque sans s’en apercevoir
Moi je t’ai emmenée dans ce bal
Du village médiéval
Je m’suis mis au piano
J’ai joué comme Obispo
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
J’ai chanté tous les grands succès
En français, en anglais
J’ai même improvisé
Les gens étaient sciés
Quand j’étais en vacances
A Saint-Paul de Vence
Je n’oublierai jamais
Le désir que j’avais
Que j’avais de t’aimer
Car au départ rien ne pouvait laisser penser
Qu’on allait se rencontrer
[Refrain]
Nous deux, on est partis main dans la main dans les ruelles de Saint-Paul. Les gens nous souriaient. C’est fou comme les gens savent sourier à Saint-Paul. Peut-être est-ce l’entourage de tous ces peintres, de tous ces vendeurs d’essence de lavande, de thym, de romarin, de sauge, de sariette...