Les paroles de la chanson
« Saïgon »
Bernard Lavilliers
Saison des pluies sur Saigon
Deux faux anglais - trois vieux colons
Le ciel est lourd sur Ho Chi Minh City
La seine court sous les ponts de Paris
Un bateau blanc - la jungle verte
Voix chuchotées - bruits des insectes
Palmiers géants noirs sous la lune d’ici
Mais qu’est-ce que je fous a Ho Chi Minh City
Qu’est-ce que je fais
Mais qu’est-ce que j’écris
Le monde entier est mon abri
Je perds ma vie à retrouver des hommes
Ceux qu’on oublie - qu’on abandonne
Ceux qu’on oublie - qu’on abandonne
Celles qu’on oublie - qu’on abandonne
Celles qu’on devine et qui ne donnent
Qu’un goût amer déjà vécu ailleurs
Qu’une maladie déjà connue, d’ailleurs
Va dans la rue multicolore
Vivre perdu - vivre dehors
Et dans les yeux de la femme impossible
Mais qu’est-ce que tu veux
Le couteau ou la cible
Qu’est-ce que tu veux
Mais qu’est-ce que tu vis
Qu’est-ce que tu fous a Ho Chi Minh City
Je perds ma vie à retrouver des hommes
Ceux qu’on oublie - qu’on abandonne
Et dans dix ans je ne serais plus personne
Si toi aussi tu m’abandonnes.
Deux faux anglais - trois vieux colons
Le ciel est lourd sur Ho Chi Minh City
La seine court sous les ponts de Paris
Un bateau blanc - la jungle verte
Voix chuchotées - bruits des insectes
Palmiers géants noirs sous la lune d’ici
Mais qu’est-ce que je fous a Ho Chi Minh City
Qu’est-ce que je fais
Mais qu’est-ce que j’écris
Le monde entier est mon abri
Je perds ma vie à retrouver des hommes
Ceux qu’on oublie - qu’on abandonne
Ceux qu’on oublie - qu’on abandonne
Celles qu’on oublie - qu’on abandonne
Celles qu’on devine et qui ne donnent
Qu’un goût amer déjà vécu ailleurs
Qu’une maladie déjà connue, d’ailleurs
Va dans la rue multicolore
Vivre perdu - vivre dehors
Et dans les yeux de la femme impossible
Mais qu’est-ce que tu veux
Le couteau ou la cible
Qu’est-ce que tu veux
Mais qu’est-ce que tu vis
Qu’est-ce que tu fous a Ho Chi Minh City
Je perds ma vie à retrouver des hommes
Ceux qu’on oublie - qu’on abandonne
Et dans dix ans je ne serais plus personne
Si toi aussi tu m’abandonnes.