Les paroles de la chanson
« Rue des carrières (le nid d'amour) »
Georges Chelon
Y avait, y avait, y avait beaucoup à faire
Si l’on voulait dormir ailleurs que sur des pierres
Y avait, y avait, y avait, y avait beaucoup à faire
Si l’on voulait manger autre part que par terre
Y avait, y avait, y avait surtout
Des trous, des trous, des trous dans la toiture
D’où l’eau tombait, tombait, tombait sur nos figures
Y avait, y avait, y avait, y avait de la verdure
Qui ressemblait beaucoup à de la moisissure
Y avait, y avait, y avait, y avait, y avait surtout
Comme un certain découragement
Lors de notre emménagement
On nous, on nous, nous avait dit mes chers
Cette maison, c’est sûr, est faite pour vous plaire
On nous avait, z’avait, nous avait dit mes chers
Voilà les clés, signez, ne manquez pas l’affaire
On nous avait, z’avait, z’avait pas dit, pas dit
Qu’elle était centenaire
Qu’elle n’avait pas connu depuis la dernière guerre
Ni un maçon, ni rien, pas même un locataire
Que les gamins du coin en faisaient leur repaire
Et l’on a mis, a mis, a mis, a mis, a mis
Quelques dizaines de millions
Pour quelques tonnes de grattons
Quel beau nid d’amour
Mais quel beau nid d’amour
Y avait, y avait, y avait pas à s’en faire
Tout c’qu’y avait c’était, c’était tout à refaire
Y avait, y avait, y avait plus qu’à coucher par terre
Y avait plus qu’à manger, qu’à manger sur des pierres
Y avait, y avait, y avait surtout
Ces trous, ces trous, ces trous dans la toiture
D’où l’eau tombait, tombait, tombait sur nos figures
Y avait, y avait, y avait, y avait cette verdure
Qui ressemblait toujours à de la moisissure
Y avait, y avait, y avait, y avait, y avait surtout
Comme une certaine impression
D’avoir été pris pour des cons
Quel beau nid d’amour
Mais quel beau nid d’amour........
Si l’on voulait dormir ailleurs que sur des pierres
Y avait, y avait, y avait, y avait beaucoup à faire
Si l’on voulait manger autre part que par terre
Y avait, y avait, y avait surtout
Des trous, des trous, des trous dans la toiture
D’où l’eau tombait, tombait, tombait sur nos figures
Y avait, y avait, y avait, y avait de la verdure
Qui ressemblait beaucoup à de la moisissure
Y avait, y avait, y avait, y avait, y avait surtout
Comme un certain découragement
Lors de notre emménagement
On nous, on nous, nous avait dit mes chers
Cette maison, c’est sûr, est faite pour vous plaire
On nous avait, z’avait, nous avait dit mes chers
Voilà les clés, signez, ne manquez pas l’affaire
On nous avait, z’avait, z’avait pas dit, pas dit
Qu’elle était centenaire
Qu’elle n’avait pas connu depuis la dernière guerre
Ni un maçon, ni rien, pas même un locataire
Que les gamins du coin en faisaient leur repaire
Et l’on a mis, a mis, a mis, a mis, a mis
Quelques dizaines de millions
Pour quelques tonnes de grattons
Quel beau nid d’amour
Mais quel beau nid d’amour
Y avait, y avait, y avait pas à s’en faire
Tout c’qu’y avait c’était, c’était tout à refaire
Y avait, y avait, y avait plus qu’à coucher par terre
Y avait plus qu’à manger, qu’à manger sur des pierres
Y avait, y avait, y avait surtout
Ces trous, ces trous, ces trous dans la toiture
D’où l’eau tombait, tombait, tombait sur nos figures
Y avait, y avait, y avait, y avait cette verdure
Qui ressemblait toujours à de la moisissure
Y avait, y avait, y avait, y avait, y avait surtout
Comme une certaine impression
D’avoir été pris pour des cons
Quel beau nid d’amour
Mais quel beau nid d’amour........