Les paroles de la chanson
« Rue d'amsterdam »
Véronique Pestel
{Refrain:}
La rue d’Amsterdam descend et remonte
Monte et redescend, ainsi fait ma rue
Je monte ou descends la rue d’Amsterdam
Je descends ou monte d’Amsterdam la rue
On dit qu’on descend, on dit qu’on remonte
Les rues descendantes, les montantes rues
On le dit aussi des rues hésitantes
On le dit aussi des plus plates rues
On monte les rues sur leur macadam
Ou par leurs trottoirs, on descend les rues
Ainsi, je descends ma rue d’Amsterdam
Ainsi, moi, je monte d’Amsterdam la rue
Qu’est-ce qui descend, qu’est-ce donc qui monte,
Qu’ ça descende ou pas dans toutes ces rues?
Sont-ce les maisons qui montent, qui montent
Ou qui tombent, tombent vers le bas des rues?
Que c’est les maisons, ça s’ voit à ce nombre
Qu’elles ont sur la porte, au bord de la rue
Quand la rue descend, descendent les nombres
Et les nombres montent, quand monte la rue
Mais pourquoi dit-on que les nombres montent
Grimpant de zéro jusqu’à l’infini?
C’est parce que les nombres font une rue de nombres
La rue des entiers plus longue que les nuits
Très longue est la rue, la grand-rue des nombres
La grand-rue abstraite qui jamais ne finit
On monte, on descend, on compte, on recompte
Dans la nuit du monde où tout nombre est gris
Mais peut-être nos rues ne sont que des ombres
Des ombres de nombres, jetées par les pluies
De tout petits bouts de la rue des nombres
Où monter descendre pour toute la vie
{au Refrain}
La rue d’Amsterdam descend et remonte
Monte et redescend, ainsi fait ma rue
Je monte ou descends la rue d’Amsterdam
Je descends ou monte d’Amsterdam la rue
On dit qu’on descend, on dit qu’on remonte
Les rues descendantes, les montantes rues
On le dit aussi des rues hésitantes
On le dit aussi des plus plates rues
On monte les rues sur leur macadam
Ou par leurs trottoirs, on descend les rues
Ainsi, je descends ma rue d’Amsterdam
Ainsi, moi, je monte d’Amsterdam la rue
Qu’est-ce qui descend, qu’est-ce donc qui monte,
Qu’ ça descende ou pas dans toutes ces rues?
Sont-ce les maisons qui montent, qui montent
Ou qui tombent, tombent vers le bas des rues?
Que c’est les maisons, ça s’ voit à ce nombre
Qu’elles ont sur la porte, au bord de la rue
Quand la rue descend, descendent les nombres
Et les nombres montent, quand monte la rue
Mais pourquoi dit-on que les nombres montent
Grimpant de zéro jusqu’à l’infini?
C’est parce que les nombres font une rue de nombres
La rue des entiers plus longue que les nuits
Très longue est la rue, la grand-rue des nombres
La grand-rue abstraite qui jamais ne finit
On monte, on descend, on compte, on recompte
Dans la nuit du monde où tout nombre est gris
Mais peut-être nos rues ne sont que des ombres
Des ombres de nombres, jetées par les pluies
De tout petits bouts de la rue des nombres
Où monter descendre pour toute la vie
{au Refrain}