Les paroles de la chanson
« Rudeluck vient changer le monde »
Luck Mervil
Rudeluck vient changer le monde
La vie est pire qu’une intrigue de Hitchcock,
À la fin pas de solutions, que la mort qui se moque,
Or quand quelques couilons concoctent quelque chose de con
Reste calme cool je clame, car ma conviction suit cet anagramme
Nous avons besoin du pouvoir de l’âme
What we want? Soul power
What we need? Soul power
Je dis merde, à tous ces idiots qui croient être des dieux
Merde à tous leurs suppôts ces pauvres malheureux
Ma mère me disait fils les morts ont toujours tort
Mais maman, qui sème la paix, récolte la mort
Bang! Bang! Les paroles s’envolent et l’écriture meurt
Les âmes nobles décollent, les demeurés demeurent
Si Rudeluck doit partir non que personne ne pleure
Nous sommes ici sur cette terre, que pour quelques heures
Rudeluck vient changer le monde - Pour le meilleur et pour le pire
Rudeluck vient changer le monde - Vivons le pire, le meileur reste à venir
Rudeluck vient changer le monde - Je ne peux croire que nous n’allons pas de l’avant
Rudeluck vient changer le monde...
Qui a le doigt, qui a le doigt - Qui a le doigt comme ça?
Devant des enfants, qui vont refaire c’que font les grands
Ici des êtres vivants, se prennent pour des Titans
Mais les derniers seront les premiers, dans l’autre réalité
Alors que tous ces acteurs cavalent, en gilets pare-balle
Sur cette terre ovale, ne disant que dalle, dans leur diarrhée verbale
Ces politiciens en complet-cravate se dilatent la rate
Réclamant qu’ils sont de la droite, la fête se gâte
Citoyens n’avez-vous pas compris...le temps est à la révolution
Bien sûr nous pouvons sombrer dans la noirceur, redevenir sectaires
Nous acharmer à la guerre, vivre dans l’ombre de la matière
Mais mes frères, comment oublier la lumière?
Rudeluck vient changer le monde - Pour le meilleur et pour le pire
Rudeluck vient changer le monde - Vivons le pire, le meilleur reste à venir
Rudeluck vient changer le monde - Je ne peux croire que nous n’allons pas de l’avant
Rudeluck vient changer le monde - L’histoire de l’humanité, que du vent...
La vie est pire qu’une intrigue de Hitchcock,
À la fin pas de solutions, que la mort qui se moque,
Or quand quelques couilons concoctent quelque chose de con
Reste calme cool je clame, car ma conviction suit cet anagramme
Nous avons besoin du pouvoir de l’âme
What we want? Soul power
What we need? Soul power
Je dis merde, à tous ces idiots qui croient être des dieux
Merde à tous leurs suppôts ces pauvres malheureux
Ma mère me disait fils les morts ont toujours tort
Mais maman, qui sème la paix, récolte la mort
Bang! Bang! Les paroles s’envolent et l’écriture meurt
Les âmes nobles décollent, les demeurés demeurent
Si Rudeluck doit partir non que personne ne pleure
Nous sommes ici sur cette terre, que pour quelques heures
Rudeluck vient changer le monde - Pour le meilleur et pour le pire
Rudeluck vient changer le monde - Vivons le pire, le meileur reste à venir
Rudeluck vient changer le monde - Je ne peux croire que nous n’allons pas de l’avant
Rudeluck vient changer le monde...
Qui a le doigt, qui a le doigt - Qui a le doigt comme ça?
Devant des enfants, qui vont refaire c’que font les grands
Ici des êtres vivants, se prennent pour des Titans
Mais les derniers seront les premiers, dans l’autre réalité
Alors que tous ces acteurs cavalent, en gilets pare-balle
Sur cette terre ovale, ne disant que dalle, dans leur diarrhée verbale
Ces politiciens en complet-cravate se dilatent la rate
Réclamant qu’ils sont de la droite, la fête se gâte
Citoyens n’avez-vous pas compris...le temps est à la révolution
Bien sûr nous pouvons sombrer dans la noirceur, redevenir sectaires
Nous acharmer à la guerre, vivre dans l’ombre de la matière
Mais mes frères, comment oublier la lumière?
Rudeluck vient changer le monde - Pour le meilleur et pour le pire
Rudeluck vient changer le monde - Vivons le pire, le meilleur reste à venir
Rudeluck vient changer le monde - Je ne peux croire que nous n’allons pas de l’avant
Rudeluck vient changer le monde - L’histoire de l’humanité, que du vent...
