Les paroles de la chanson
« Rose de chine »
Tohama
Rose de Chine
Au regard ingénu
S’en va mutine
A petits pas menus
Ce prénom charmant
Que lui donna un homme blanc
La suit en sourdine
Sous la lune d’argent
Rose de Chine
Née au bord du Mékong
On le devine
Peut jouer au Majong
Mais dans son palais doré
A l’heure où tout s’endort
Elle préfère rêver
Des paillottes du port
Thiang, thiang, tching, tching
Pense-t-elle
Ce sont des mots de bonheur
Que veut mon coeur
Thiang, thiang, tching, tching
Fait la belle,
Dans ses cheveux épinglant
Des lotus blancs
Rose de Chine
Près de sa véranda
Soudain s’incline
Devant un vieux Bouddha
Donnant en offrande
Un joli coffret de santal
A son Dieu demande
Un amour idéal
Rose de Chine
Dont le coeur est très lourd
Fut mandarine
Mais ignora l’amour
Son vieux mandarin de mari
Toujours la combla
De pierreries fines
Mais ça ne suffit pas
Là-bas en Chine
Comme dans tous les coins
Les femmes fines
Arrivent à leurs fins
Et la jolie rose
connut tant de papillons
Tellement qu’on n’ose
En citer tous les noms
Thiang, thiang, tching, tching
Disait-elle
Profitons bien des beaux jours
Ils sont si courts
Thiang, thiang, tching, tching
Pensait-elle
Avec un tel mandarin, pas de pépins
Rose de Chine
Au regard ingénu
S’en va mutine
A petits pas menus
Ce prénom charmant
Que lui donna un homme blanc
La suit en sourdine
Sous la lune d’argent
[variante des derniers vers:]
Et dans toute la ville
On a bien ri quand le mari
Pour sa mandarine
S’est fait hara kiri
Au regard ingénu
S’en va mutine
A petits pas menus
Ce prénom charmant
Que lui donna un homme blanc
La suit en sourdine
Sous la lune d’argent
Rose de Chine
Née au bord du Mékong
On le devine
Peut jouer au Majong
Mais dans son palais doré
A l’heure où tout s’endort
Elle préfère rêver
Des paillottes du port
Thiang, thiang, tching, tching
Pense-t-elle
Ce sont des mots de bonheur
Que veut mon coeur
Thiang, thiang, tching, tching
Fait la belle,
Dans ses cheveux épinglant
Des lotus blancs
Rose de Chine
Près de sa véranda
Soudain s’incline
Devant un vieux Bouddha
Donnant en offrande
Un joli coffret de santal
A son Dieu demande
Un amour idéal
Rose de Chine
Dont le coeur est très lourd
Fut mandarine
Mais ignora l’amour
Son vieux mandarin de mari
Toujours la combla
De pierreries fines
Mais ça ne suffit pas
Là-bas en Chine
Comme dans tous les coins
Les femmes fines
Arrivent à leurs fins
Et la jolie rose
connut tant de papillons
Tellement qu’on n’ose
En citer tous les noms
Thiang, thiang, tching, tching
Disait-elle
Profitons bien des beaux jours
Ils sont si courts
Thiang, thiang, tching, tching
Pensait-elle
Avec un tel mandarin, pas de pépins
Rose de Chine
Au regard ingénu
S’en va mutine
A petits pas menus
Ce prénom charmant
Que lui donna un homme blanc
La suit en sourdine
Sous la lune d’argent
[variante des derniers vers:]
Et dans toute la ville
On a bien ri quand le mari
Pour sa mandarine
S’est fait hara kiri