Les paroles de la chanson
« Ronde mexicaine »
Les Compagnons De La Chanson
Quand je bois à l’eau fraîche
A l’eau fraîche de tes lèvres
Quand je bois à l’eau claire
A l’eau claire de tes yeux
J’ai si peur de te perdre
De te perdre, de te perdre
Mon amour, que je pense
Que je pense à ces malheureux
A tous ces gueux sans âme
Sans visage et sans âge
Qui n’ont plus une larme
Une larme pour pleurer
Au soleil qui les brûle
Qui les brûle, qui les brûle
Mon amour, quand ils chantent
Quand ils chantent désespérés
Quand je t’ai dans mes bras, le soleil du Mexique
Est un enfant de chœur à côté de celui
Qui incendie mon cœur, ce soleil fantastique
Et brûle à petit feu et mes jours et mes nuits
Mais moi, j’ai cette eau fraîche
Cette eau fraîche de tes lèvres
Mais moi, j’ai cette eau claire
Cette eau claire de tes yeux
Tant et tant que sans elle
Que sans elle, que sans elle
Mon amour, que sans elle et sans toi
Je serais comme eux
Comme ces gueux sans âme
Sans visage et sans âge
Qui n’ont plus une larme
Une larme pour pleurer
Au soleil qui les brûle
Qui les brûle, qui les brûle
Mon amour, quand ils chantent
Quand ils chantent, désespérés
Mais qu’importe après tout, le soleil du Mexique
Est un enfant de chœur à côté de celui
Qui incendie mon cœur, ce soleil fantastique
Et brillera toujours si je t’ai, mon amour
Laï laï laï...
A l’eau fraîche de tes lèvres
Quand je bois à l’eau claire
A l’eau claire de tes yeux
J’ai si peur de te perdre
De te perdre, de te perdre
Mon amour, que je pense
Que je pense à ces malheureux
A tous ces gueux sans âme
Sans visage et sans âge
Qui n’ont plus une larme
Une larme pour pleurer
Au soleil qui les brûle
Qui les brûle, qui les brûle
Mon amour, quand ils chantent
Quand ils chantent désespérés
Quand je t’ai dans mes bras, le soleil du Mexique
Est un enfant de chœur à côté de celui
Qui incendie mon cœur, ce soleil fantastique
Et brûle à petit feu et mes jours et mes nuits
Mais moi, j’ai cette eau fraîche
Cette eau fraîche de tes lèvres
Mais moi, j’ai cette eau claire
Cette eau claire de tes yeux
Tant et tant que sans elle
Que sans elle, que sans elle
Mon amour, que sans elle et sans toi
Je serais comme eux
Comme ces gueux sans âme
Sans visage et sans âge
Qui n’ont plus une larme
Une larme pour pleurer
Au soleil qui les brûle
Qui les brûle, qui les brûle
Mon amour, quand ils chantent
Quand ils chantent, désespérés
Mais qu’importe après tout, le soleil du Mexique
Est un enfant de chœur à côté de celui
Qui incendie mon cœur, ce soleil fantastique
Et brillera toujours si je t’ai, mon amour
Laï laï laï...