Les paroles de la chanson
« Rock 'n' roll cow-boy »
Nino Ferrer
Ils sont assis comme des veaux parmi les papiers gras
Ils sont remplis de merguez, de frites et de coca
Ils écoutent la musique comme on regarde passer les trains
De toutes façons le son est merdique, la sono, c’est des gars du coin
Et la soirée s’étire, il ne se passe rien
Moi, je me sens tout seul, sous le feu des projecteurs
Pendant que le spectacle avance à toute vapeur
Je suis un rock’n’roll cow-boy
En sueur
Quand je vais dans le monde civilisé
Je vois des gens pas clairs, polis, mondains, rusés
Ils te sourient par-devant et t’assassinent par-derrière
Rien n’a changé dans l’Ouest à par les bonnes manières
Et quel que soit le régime, c’est la loi du plus fort
Moi, je me sens tout seul sous le feu des projecteurs
Pendant que le spectacle avance à toute vapeur
Je suis un rock’n’roll cow-boy
Qui a peur
Voilà qu’on me tire dessus du haut de ce balcon
Des canettes de bière, des tomates, des melons
Et moi j’avance de plus belle, à grands coups de décibels
Pour garder dans mon théâtre tous ces bovins opiniâtres
Qui vont de l’autre côté parce que c’est mieux éclairé
Et moi, je me sens tout seul sous le feu des projecteurs
Pendant que le spectacle avance à toute vapeur
Je suis un rock’n’roll cow-boy
Qui meurt... de soif!
Ils sont remplis de merguez, de frites et de coca
Ils écoutent la musique comme on regarde passer les trains
De toutes façons le son est merdique, la sono, c’est des gars du coin
Et la soirée s’étire, il ne se passe rien
Moi, je me sens tout seul, sous le feu des projecteurs
Pendant que le spectacle avance à toute vapeur
Je suis un rock’n’roll cow-boy
En sueur
Quand je vais dans le monde civilisé
Je vois des gens pas clairs, polis, mondains, rusés
Ils te sourient par-devant et t’assassinent par-derrière
Rien n’a changé dans l’Ouest à par les bonnes manières
Et quel que soit le régime, c’est la loi du plus fort
Moi, je me sens tout seul sous le feu des projecteurs
Pendant que le spectacle avance à toute vapeur
Je suis un rock’n’roll cow-boy
Qui a peur
Voilà qu’on me tire dessus du haut de ce balcon
Des canettes de bière, des tomates, des melons
Et moi j’avance de plus belle, à grands coups de décibels
Pour garder dans mon théâtre tous ces bovins opiniâtres
Qui vont de l’autre côté parce que c’est mieux éclairé
Et moi, je me sens tout seul sous le feu des projecteurs
Pendant que le spectacle avance à toute vapeur
Je suis un rock’n’roll cow-boy
Qui meurt... de soif!